Figures du sujet, naissance de l'individualisme, humanisation du monde, moi, humanité
Nous caractérisons notre société moderne par son individualisme, alors l'individu n'a donc pas toujours eu une place dans la société. Ce phénomène apparait de manière négative, car repli sur ces intérêts, égoïsme… Mais peut-être apparaitre de manière positive, car on accorde une place à l'individu, un rôle : il s'émancipe. La notion d'individu est moderne, ou plus précisément sur le sens qu'on lui donne est la marque de notre modernité. Ces notions se caractérisent par une dimension problématique. Et le point de départ de cette problématique est la Renaissance (XVe). Ainsi l'Homme est au centre de tout ou presque et Dieu n'est plus le tout. Au Moyen-Age, nous sommes dans une forme de théocentrisme. Rien n'a de sens au-delà de Dieu, tout est structuré en fonction de la religion. Ce qui change, c'est le rapport avec le monde du point de vue des techniques et des découvertes de nouvelles terres : invention de la boussole, de la poudre à canon, de l'imprimerie. Machiavel s'interroge sur le problème d'appliquer des pouvoirs à des humains. On s'interroge également au confort que l'on peut donner à l'Homme.
[...] Le miroir des cannibales Ecrire sa singularité c'est en fait écrire pour d'autres singularités. La portée du texte de Montaigne n'est pas autobiographique mais plutôt anthropologique. La science morale moderne : Montaigne apparait au XVIIème siècle comme un des précurseurs de cette science (La Rochefoucauld, La Bruyère : ce sont des moralistes, mais ne sont pas des gens dictant une attitude à conduire). Le mot morale est utilisé par le biais de de son étymologie latine mores donc un dérivé du mot mœurs : ainsi les moralistes parlent des mots pour décrire les manières des Hommes. [...]
[...] Rapport entre l'individu moderne et la légitimité du pouvoir : renversement libéral de Marcel Gauchet, doctrine du droit naturel, contrat social (Hobbes/Rousseau), réflexion sur les travers de la modernité en politique, Individualisme de l'individu moderne : abstention Avoir des principes : Une tendance à penser par synonymes. Ø Machiavel : la fortuna Lé tiks né jamet kune rekonsilision du mwa avc lé puissenses 1veaulongterre. Pole Rikeur. L'1dividu sosial Ditsetième siaikle spinoza remize en kose ché spinoza, il subi lui-même lé trucs de son conportemen. lomme né pa 1 empir den 1 anpir. sela sinifi ke le 2sième anpir ou il ai, il nechap pa o loi.il ai den la natur ! [...]
[...] On insinue qu'il y a un individu qu'i n'est pas moderne. C'est la modernité qui différencie l'individu moderne des autres, elle lui donne ses caractéristiques. La modernité se définit par cette place qu'elle donne à l'individu. Chaque concept se définit l'un par l'autre. La modernité ne recouvre pas seulement le monde contemporain. Se fonder sur le sens que nous donner à l'individualisme. Sauf que nous qui sommes philosophes nous savons que l'individualisme n'a pas surgi d'un seul coup et qu'il a des sources lointaine. [...]
[...] Le moi n'est pas réellement le sujet. Le projet de Montaigne est de quasiment faire le contraire d'Augustin, ni de montrer une forme de logique dans sa vie mais plutôt une multiplicité du moi. Dans ces œuvres il n'est pas question d'une reconstitution chronologique de Montaigne mais plutôt par association d'idée : un ordre d'associatif, en fonction de l'envie de l'auteur. Dans son autoportrait, le moi se décrit tel qu'il est au moment où il écrit. On a donc ici un autoportrait d'un moi qui se dessine au moment présent, voilà pourquoi dans ses essais Montaigne raconte des anecdotes, il parle de choses qui s'offre à lui. [...]
[...] Et le point de départ de cette problématique est la Renaissance (XVe). Ainsi l'Homme est au centre de tout ou presque et Dieu n'est plus le tout. Au Moyen-Age, nous sommes dans une forme de théocentrisme. Rien n'a de sens au- delà de Dieu, tout est structuré en fonction de la religion. Ce qui change, c'est le rapport avec le monde du point de vue des techniques et des découvertes de nouvelles terres : invention de la boussole, de la poudre à canon, de l'imprimerie. [...]
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