Explication et synthèse des plus grands philosophes de l'histoire sur base de leur phrase type comme le fameux « Je pense donc je suis » ; Descartes, et de même pour Kant, Hegel, Sartre, Darwin, Marx, Nietzsche. En partant de cette maxime, nous allons développer tout le raisonnement logique pour finalement retracer les grandes lignes de la pensée de chacun. Document de 3920 mots.
[...] La conscience a une dimension d'irréalité et donc de liberté. La conscience n'est pas tenue de s'attacher à un objet. Elle peut se décrocher, s'évader des choses. Le non-réel, l'irréel, est pour elle un objet possible. Elle est soustraite au déterminisme spatio- temporel. Elle est libre. La description de l'imaginaire est une découverte de la liberté. C'est la révélation d'une liberté absolue que rien ne peut limiter. La conscience n'est pas une chose. Elle n'est pas non plus les choses dont elle a conscience. [...]
[...] Tel est l'homme libre : celui qui accepte d'être responsable de ses actes en engageant l'humanité. Si Dieu est parfait, il existerait sinon il lui manquerait à sa perfection l'existence, donc il existe ; Descartes L'idée d'un être infini et parfait (qui se trouve, selon Descartes, en chacun de nous) ne peut pas avoir été produite par un esprit fini, comme celui de l'homme. Comment un être fini et imparfait comme l'homme pourrait- il forger ( c'est-à-dire construire de toutes pièces ) l'idée d'un être parfait et infini ? [...]
[...] Une pensée va être contrée par une autre pensée, créant ainsi une tension entre ces deux modes de pensée, cette contradiction sera levée grâce à une troisième pensée qui conservera le meilleur des deux points de vue ; Hegel La synthèse, c'est sur-primer les antagonistes ; Hegel La dialectique est la marche de la pensée procédant par contradictions surmontées en allant de l'affirmation à la négation et de la négation à la négation de la négation (thèse, antithèse, synthèse). Le devenir s'opère par dépassements successifs des contradictions. Dépasser, pour Hegel, c'est nier mais en conservant, sans anéantir. Les termes opposés ne sont pas isolés mais en échange permanent l'un avec l'autre. La contradiction joue donc un rôle essentiel. [...]
[...] L'enfant dit oui mais il ne s'agit plus du oui de l'obéissance mais celui de la tranquille affirmation de soi qui a la force du jeu, de l'innocence. Le surhomme n'est rien d'autre que ce oui, délivré de tout mauvais négatif. Si on veut le distinguer de l'enfant, on ne pourra le faire qu'en le déterminant comme l'épanouissement de cet enfant : l'innocence créatrice et donatrice à très haut degré. La volonté de puissance consiste à créer. Le fort, le véritable héro est l'artiste. [...]
[...] L'homme est le fruit d'une évolution naturelle ; Darwin La terre a été peu à peu colonisée par les plantes, des organismes unicellulaires qui de mutations en mutations ont évoluées vers des êtres plus complexes : les animaux (dont l'homme). L'évolution se fait par sélection naturelle, ce sont les animaux les plus adaptés a leur milieu qui survivent. Ce sont donc eux qui auront le plus de chance de se reproduire, et donc de transmettre leurs gènes. Le néodarwinisme peut se définir comme étant l'étude de tout être vivant est composé de cellules, et que grâce à la division cellulaire, celui-ci peut évoluer. [...]
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