Abstenir, penser, être heureux, conscience, bonheur, humain
Le fait d'être heureux est par aisance un état agréable. Or les aléas de l'existence font que l'on trouve des périodes et des situations caractérisées par l'ennui, le malheur ou encore la souffrance. Ces situations jouent un rôle par nos pensées, unique à l'homme contrairement aux animaux, qui eux vivent leur vie sans réfléchir au désir, nous sommes obligés de pensée, ne plus penser voudrait dire que nous serions comme mort. Donc nous avons forcément un sentiment ou un moment de réflexion à chaque instant de notre vie. Il peut se caractérisé par exemple à un grand malheur comme le décès d'une personne proche, à sentiment d'insécurité qui peut amener à ce sentiment de souffrance. Cependant, cette angoisse n'est que temporaire, si la source de notre pensée est paradoxale aux éléments précédents, donc ça nous amène à un sentiment durable de plénitude et de satisfaction, souvent après avoir accompli quelque chose qui nous semble agréable et nous permet d'oublier cette pensée de souffrance liée au décès pris dans l'exemple précédent.
[...] Selon Epicure, le but de philosopher, de réfléchir à la pensée, est de nous procuré une vie heureuse. On peut parler d'ataraxie, c'est-à-dire de l'absence du trouble de l'âme. Il est matérialiste, le bonheur c'est le plaisir il existe donc des remèdes créer par Epicure afin d'être heureux. Il faut donc d'après lui ne pas craindre les dieux, autant le bien est facile à obtenir autant que le mal est facile à supporter. Il s'agit donc d'arrêter l'angoisse qui peut exister à l'idée de la mort et de l'action des dieux. [...]
[...] L'homme est un être de désir, et selon qu'il parvient ou échoue satisfaire ses désirs, il est heureux ou misérable. Epicure, avec l'extrait de la lettre de Menecée, nous incite à classer nos différents désirs : il y a d'abord les désirs naturels, les désirs vains. Les désirs naturels nécessaires comprennent tous les désirs tels que si ils ne sont pas satisfaits, nous mourrons comme par exemple boire, manger . Les désirs seulement naturels peuvent être le désir de manger tel ou tel plat etc. [...]
[...] Pascal, dans son texte, après avoir donné la cause de notre malheur, il en donne la raison : j'ai trouvé qu'il y en a une bien effective, que rien ne peut nous consoler, lorsque nous y pensons de prêt. (lignes 14 à 17). La pensée, dès quelle ne subit pas la vie au quotidien, avec la vivacité, des que l'on se retrouve seul, sans une agitation, nous retrouvons ce sentiment d'inutilité et de malheurs. Elle nous ramène à la réalité, donc à la mort. Il faut alors se divertir constamment, de penser à autres choses, car on ne peut pas supporter notre statut de mortel. [...]
[...] Cet exemple nous montre que celui qui a tout pour être heureux, l'homme le plus divertit du royaume, n'est donc pas confronter au malheur de sa condition. Il ne se sent pas forcement malheureux. En revanche, s'il pense à sa condition humaine et mortelle, il sera comme tout homme, il sera malheureux. Donc Blaise PASCAL, dans ses pensées montre que l'homme, quand il est inactif, est malheureux car il repense à son statut de mortel. Il faut donc qu'il s'occupe pour ignorer cette condition. [...]
[...] Faut-on s'abstenir de penser pour être heureux ? Le fait d'être heureux est par aisance un état agréable. Or les aléas de l'existence font que l'on trouve des périodes et des situations caractérisés pas l'ennui, le malheur ou encore la souffrance. C'est situations jouent un rôle par nos pensée, unique à l'homme contrairement aux animaux, qui eux vivent leur vie sans réfléchir au désir, nous sommes obligés de pensée, ne plus penser voudrait dire que nous serions comme mort. Donc nous avons forcement un sentiment ou un moment de réflexion à chaque instant de notre vie. [...]
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