La notion de travail évolue de jour en jour dans notre société et est aussi bien différente selon chacun.
Du latin "tripalium" signifiant instrument de torture, la langue française a donné au nom travail un sens contraignant et pourquoi pas douloureux.
D'ailleurs, dans la bible, Dieu punit le premier péché en chassant Adam du jardin d'Eden et en l'obligeant à cultiver désormais une terre stérile : "tu gagneras ton pain à la sueur de ton front".
Par ailleurs, pour Marx, le travail humain contribue à transformer l'homme tout autant que la nature.
En effet, contrairement à l'animal qui agit par pur instinct, l'homme détermine dans sa conscience le but qu'il veut atteindre avant de le réaliser : "ce qui distingue dès l'abord le plus mauvais architecte de l'abeille la plus experte, c'est qu'il a construit la cellule dans sa tête avant de la construire dans la ruche".
Mais il faut savoir que le travail désigne toute activité, dès l'instant qu'elle est socialement rentable ou utile (...)
[...] II. En quoi le travail ne rend pas forcément heureux ? III. [...]
[...] Dissertation : faut-il travailler pour être heureux ? La notion de travail évolue de jour en jour dans notre société et est aussi bien différente selon chacun. Du latin tripalium signifiant instrument de torture, la langue française a donné au nom travail un sens contraignant et pourquoi pas douloureux. D'ailleurs, dans la bible, Dieu punit le premier péché en chassant Adam du jardin d'Eden et en l'obligeant à cultiver désormais une terre stérile : tu gagneras ton pain à la sueur de ton front Par ailleurs, pour Marx, le travail humain contribue à transformer l'homme tout autant que la nature. [...]
[...] Le travail n'est donc pas nécessaire au bonheur mais peut y contribuer. Avant tout, il est important de préciser qu'aujourd'hui nous vivons dans une société matérialiste qui dicte et montre une image mensongère, celle qui dit que l'argent fait le bonheur. En effet les verbes posséder et avoir sont les maitres mots de notre société de consommation de masse. Or ce sens du mot bonheur renvoie à rien d'autres notions que celle de l'argent, comme le plaisir, la satisfaction, le désir De plus, pour vivre et avoir un niveau de vie correct, il faut gagner de l'argent, donc travailler, si une personne ne travaille pas, elle n'a donc pas de salaire, ni de rémunération (à part les aides qui lui permettent tout juste de subvenir à ses besoins vitaux) alors elle ne peut rien faire qui lui permettrait de s'épanouir puisqu'aujourd'hui, on a rien sans rien' et sans argent on ne peut rien faire. [...]
[...] Pour être heureux, l'homme n'a pas nécessairement besoin du travail, il peut rencontrer différents plaisirs de la vie qui le rendent heureux, sur son temps libre il peut faire ce qu'il aime, s'investir dans ses passions, ou encore passer du temps avec des personnes qui lui sont chères. Le bonheur serait aussi par ailleurs un idéal, non de la raison, mais de l'imagination. Un homme, en pensant, en réfléchissant, en imaginant un monde plus mauvais que le notre, pourrait donc conclure qu'il est heureux et que bien d'autres éléments pourraient l'accabler. Le rêve aussi peut rendre heureux, ou bien l'espoir, on dit d'ailleurs que l'espoir fait vivre. Il y a alors énormément d'activité extérieure au travail qui rendent heureux. [...]
[...] D'autre part, le travail est donc une activité qui produit des biens et des services. Si l'effort que l'on fournit pour accomplir notre production, porte ses fruits à la fin du travail cela procure un certain plaisir. Prenons l'exemple d'un enfant qui apprend à lire, celui-ci va fournir des efforts pour surmonter des difficultés d'apprentissage et dans la finalité de ce travail si l'enfant en voit le résultat et sait donc lire, il ressentira une certaine joie, une fierté, source de bonheur. [...]
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