Dissertation de philosophie (niveau Lycée) sur la problématique : Existe-t-il des limites à la connaissance scientifique d'un être vivant ?
[...] Ainsi, la connaissance d'un être vivant évolue. Par exemple, la médecine ne cesse d'évoluer (nouveaux médicaments, vaccin En outre, en médecine nos connaissances du vivant ne peuvent avoir de limites puisque de nouvelles maladies apparaissent ce qui engendre de nouvelles recherches et donc l'acquisition de nouvelles connaissances scientifiques. Puis, on peut dire qu'il a de moins en moins de limiter à la connaissance scientifique d'un être vivant grâce au développement des méthodes de recherche qui sont de plus en plus développées et au progrès matériel. [...]
[...] Cependant les progrès scientifiques réalisés d'après la théorie cartésienne doivent être accompagnés d'une réflexion éthique sur leurs limites. Mais il ne faut pas que ça empêche de connaître de nouvelles choses puisque cette limite éthique doit être un obstacle au savoir. Ainsi, selon les époques il existait plus ou moins des limites à la connaissance scientifique de l'être vivant dû notamment aux différentes performances de la technologie. L'homme en ne pensant qu'au progrès scientifique désacralise de la vie des être vivants. N'existerait-il pas des limites à la connaissance scientifique du vivant ? [...]
[...] Pour conclure, on peut dire qu'il existe des limites à la connaissance scientifique du vivant afin de le respecter. D'un point de vue moral, éthique, on ne peut faire des recherches qui sont contre nature. Même si, l'être vivant évolue et que dans ce cas là il n'y a pas de limites sur l'acquisition des connaissances, des contraintes sont présentes pour le respect de l'être vivant. Il existe donc une responsabilité chez les être vivants. Est-il vraiment nécessaire de tout connaître sur le monde, sur l'être vivant ? [...]
[...] En outre on peut dire qu'il existe des limites ethniques à la connaissance de l'être vivant puisqu'il serait immoral de faire sur un homme une expérience pour le progrès scientifique alors qu »elle peut lui être nocive. C'est également dangereux pour l'animal mais c'est utile pour l'homme, donc c'est nécessaire, cette expérience est faite au service de l'humanité. Ainsi, le côté éthique à respecter lors de recherches sur le vivant est tout particulièrement valable pour l'homme. Par conséquent, le savant doit utiliser son esprit rationnel pour le respect de l'être vivant. [...]
[...] Il existe différentes limites à la connaissance scientifique du vivant. Tout d'abord, lorsqu'on fait des recherches sur un être vivant il existe des contraintes d'ordres éthiques et moraux à respecter. L'éthique impose aux chercheurs à anticiper les éventuelles applications de ce qu'on est sur le point de découvrir. Elle instaure une véritable autocensure inconsciente sur les recherches. De plus, on ne compare plus l'être vivant comme un automate. Selon Hans Jonas, l'éthique correspond au jugement à la distinction du bien et du mal. [...]
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