Éthique industrielle, opinion publique, moralité, conscience, économie, capitalisme, Karl Marx, conscience écologique, greenwashing, fordisme, mondialisation, surconsommation, soft power, communication, lobbying, hypocrisie industrielle
L'éthique caractérise l'Homme par sa volonté de puissance : elle est donc liée à la morale qui se définit par la capacité à faire la différence entre le bien et le mal. Par ailleurs, l'Homme est soumis à deux autres influences : l'intelligence et la conscience. L'éthique est donc obligée de subir l'attraction de ces deux paramètres pour accepter ou refuser les valeurs de la profession que l'on a choisie. Il ne faut pas oublier les différences entre l'éthique professionnelle et personnelle. On oppose également les enjeux éthiques et économiques. Nous verrons que, malgré les a priori, ces oppositions sont vectrices d'évolution : elles tendent à s'amoindrir, voire même se nourrir l'une de l'autre. Les préjugés et les lieux communs ont la vie dure, c'est donc dans une société clivée que les changements doivent s'opérer. D'où proviennent ces clivages ? Qu'impliquent-ils pour une entreprise ? Les changements vont-ils vers le "mieux" ? Dans quelle mesure l'éthique industrielle n'est-elle pas synonyme d'hypocrisie ?
[...] Lexique de la politique. Définitio&n: Qu'est-ce que le soft powe&r? ÉLISE LUCET, Cash Investigation Disponible à l'adresse : https://bit.ly/2MnayWh. FRANÇOIS RABELAIS et PIERRE MICHEL Pantagruel. Éd. Revue et corrigée. Paris : Le livre de poche. Le Livre de poche classique ISBN 9782253023494. JOHN STEVENSON British society 1914-45. London New York Victoria: Penguin Books. The Penguin Social History of Britain. ISBN 9780140138184. KARL MARX, Le capital : critique de l'économie politique 1. [...]
[...] Les théoriciens de l'économie - Keynes. BFM Business. Disponible à l'adresse : https://bit.ly/2HARwyj. MARK TWAIN, SMITH, Harriet Elinor, HOEPFFNER, BANCROFT LIBRARY et MARK TWAIN PROJECT L'autobiographie de Mark Twain. ISBN 9782907681964. Trois ans de scandales dans l'empire Volkswagen. lesechos.fr. Disponible à l'adresse : https://bit.ly/2x6OMkK. C'est une forme modernisée du colonialisme occidental du XIXe siècle. Cette notion peut être définie par l'exemple : Jean-Christophe Grangé a décrit l'extraction du coltan en République Démocratique du Congo et les enjeux humanitaires inhérents à cette exploitation inégalitaire des ressources. [...]
[...] L'éthique universelle n'est qu'utopique[16]. D'ailleurs, ce sont nos aspirations utopiques qui forgent notre regard sur le monde. Loin d'être manichéennes, nos limites et nos définitions du sens éthique dépendent de nos mœurs, de nos ambitions et de notre berceau culturel. Influençant notre regard des modèles sociaux ou des politiques environnementales, il est évident que l'éthique ne peut rassembler que des individualités ; car derrière chaque groupe, il y a des individus trop peu considérés dans les modèles internationaux de la néo-gouvernance. [...]
[...] Les enjeux économiques ne vont donc pas nécessairement à l'encontre de ce qui est moral. On oppose souvent, à tort, le capitalisme et la quête d'équité, d'amélioration sociale ou sanitaire, bref : d'éthique. Ce sont les dérives capitalistes et la déshumanisation du but qui rendent l'économie moins équitable, moins morale. Pourtant, il est très commun d'être confronté aux astucieuses analogies entre capitalisme et absence d'éthique. Selon Albert Einstein, « il est plus difficile de désagréger un préjugé qu'un atome ». C'est le cas de l'opposition que l'on instaure souvent entre logique économique et perspective environnementale. [...]
[...] Chaque être humain est unique par son histoire, sa culture, son lieu de résidence, sa religion, son travail, son rang social, ses diplômes, sa sexualité ou son patrimoine. Dans notre cas, l'utilitarisme pourrait se définir comme l'importance supérieure du plus grand nombre : lors d'un dilemme, c'est la majorité numérique qui doit l'emporter. C'est un courant idéologique et un mode d'organisation sociétal très important et proposant un spectre bien plus large que celui énoncé précédemment. L'utilitarisme a été étudié par le célèbre économiste Adam Smith dans « La Richesse des nations ». [...]
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