Ce texte aborde le thème de la justice et de l'État. Il examine la légitimité du pouvoir de l'État pour décider ce qui est juste et équitable, ainsi que les responsabilités et les dangers liés à cette possession. Il explore également les moyens de solidifier un État pour assurer sa sécurité et sa durabilité.
Les matières scolaires abordées sont la philosophie, l'histoire, la politique et la sociologie.
[...] Revient-il à l'Etat de décider de ce qui est juste ? L'Etat se définit comme l'ensemble des institutions qui établissent l'ordre d'une société sur un territoire donné. Le verbe “décider” désigne un pouvoir de décision, aussi dit exécutif, auquel certaines personnes doivent se soumettre. Le terme “juste” vient du latin ‘jus' qui signifie à la fois droit et justice, deux notions distinctes mais intimement liées, du latin ‘justicia', la justice désigne la conformité au droit en vu d'établir une stabilité sociale et un équilibre relationnel entre les hommes d'une société. [...]
[...] En ce sens, le juge ne doit pas seulement appliquer la loi au pied de la lettre, mais également tenir compte des circonstances et des paroles de l'ensemble des membres du procès. C'est ce qui est arrivé avec Jacqueline Sauvage, qui fut finalement gracié de sa petite peine. Ainsi, la liberté de me rendre au cœur d'une justice qui se veut la plus équitable possible. Effectivement, la justice semble impliquer la liberté d'expression si elle se veut équitable mais elle ne peut pas toujours lettre. John Rose mais tu l'expérience celle du vol de ignorance. [...]
[...] Elle leur permet par une organisation collective de surmonter le contrôle des dangers notamment la nature. Néanmoins, il n'est pas certain que la justice s'impose toujours. Dans l'Antiquité, les hommes considèrent déjà chez les Grecs, qu'un État bien construit devait être un État. Juste en effet la justice semble assurer une équité entre les citoyens de la cité qui est nécessaire à une vie sans angoisse. Ce peuple est d'ailleurs fondateur de la démocratie du grec, Démos qui désigne le pouvoir est Kratos qui désigne le peuple. [...]
[...] Les grecs antique ont donc une vision de la justice et de l'ordre qui leur est propre, mais qui assure un fonctionnement harmonieux et très bien pensé. En effet, le philosophe des lumières, Jean-Jacques Rousseau s'interroge sur les raisons du fondement étatique expose son hypothèse dans son œuvre du contrat social pour lui. L'État s'est formé en raison de la nécessité des relations sociales qu'il voit comme des coopération entre les hommes lorsque ces derniers ne peuvent lutter seul pour leur survie. [...]
[...] Si la justice n'est pas toujours équitable en raison des restrictions de liberté. Qu' impose à certains peut-elle devenir ? Peut-on imaginer une justice parfaite ? Lorsque Georgio disait “ce monde n'est pas injuste, mais juste comme on l'a fait”, il rejoignit sans doute l'idée de Nietzsche. Selon quel la justice consiste à répartir équitablement l'injustice. En ce sens, la justice ne serait qu'une notion inventée fictivement par l'homme visant à satisfaire nos ego personnels et assurer un certain ordre apparent la justice parfaite est inexistence. [...]
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