Saint-Jacques était le fils de Zébédée et de Marie Salomé, frère de Jean l'Évangéliste et l'ami des apôtres Pierre et André. Ils exploitaient ensemble une petite entreprise de pêche sur le lac de Tibériade. Jacques fut l'un des plus fidèles compagnons du Christ ; il fut associé aux évènements les plus marquants de sa vie notamment la résurrection de la fille de Jaïre, la Transfiguration, la nuit passée à Gethsémani, la veille de sa mort.
Saint Jacques aurait eu pour mission de prêcher la parole du Christ dans la péninsule Ibérique, alors il était en train de pêcher dans les eaux de Tibériade. Rentré en Palestine, il aurait été décapité sous l'ordre du roi juif Hérode Agrippa. On livra son corps en pâture aux chiens. Recueillie par ses compagnons, sa dépouille est mise dans une embarcation. Guidée par un ange, l'embarcation franchit Gibraltar, puis s'échoue plus tard sur les côtes de Galice. La reine de Galice aurait recueilli la dépouille mortuaire. De ce faite, elle se converti et la ramena, dans son château où l'arrivée des barbares puis plus tard des Arabes plongèrent dans l'oubli l'existence même du tombeau.
Théodomire, évêque d'Ira-Flavia (aujourd'hui Padrón), reconnut ce tombeau comme étant celui de Saint Jacques en 835 et le roi Alphonse II des Asturies y fit édifier une église. Il faudra toutefois attendre l'année 1884 pour que le pape Léon XIII confirme de son autorité, dans la lettre Apostolique « Deus Omnipotens », la reconnaissance des reliques de saint Jacques faite par l'archevêque de Compostelle.
[...] Soixante-treize monuments, sept ensembles et sept biens naturels. Les pèlerins d'aujourd'hui De nos jours, les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle sont ouverts et fréquentés pour des personnes ayant un but spirituel ou sportif. Il faut savoir que les personnes ayant un but spirituel ne sont pas forcément rattachées à la religion catholique. Les chemins de Saint-Jacques ont une âme propre, c'est la magie de Compostelle. Cette âme est dessinée par les rencontres effectuées, les paysages vus. Les pèlerins, comme les sportifs optent pour un voyage en tronçon. [...]
[...] De ce fait, elle se convertit et la ramena, dans son château où l'arrivée des Barbares puis plus tard des Arabes plongea dans l'oubli l'existence même du tombeau. Théodomire, évêque d'Ira-Flavia (aujourd'hui Padrón), reconnut ce tombeau comme étant celui de Saint Jacques en 835 et le roi Alphonse II des Asturies y fit édifier une église. Il faudra toutefois attendre l'année 1884 pour que le pape Léon XIII confirme de son autorité, dans la lettre apostolique Deus Omnipotens la reconnaissance des reliques de saint Jacques faite par l'archevêque de Compostelle. L'origine du pèlerinage Le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle se constitue autour au 9e siècle apr. [...]
[...] Les origines de Saint-Jacques-de-Compostelle. L'origine du pèlerinage. Les différents chemins. Le pèlerinage aujourd'hui. La redécouverte des différents chemins. Le rôle de l'u.n.e.s.c.o., et de l'Union Européenne. Les pèlerins d'aujourd'hui. Annexes Déclaration de Saint-Jacques-de-Compostelle Classification de l'U.N.E.S.C.O. Chant des pèlerins de Compostelle L'histoire et l'origine du pèlerinage Les origines de Saint-Jacques-de-Compostelle Saint-Jacques était le fils de Zébédée et de Marie Salomé, frère de Jean l'Évangéliste et l'ami des apôtres Pierre et André. Ils exploitaient ensemble une petite entreprise de pêche sur le lac de Tibériade. [...]
[...] Et tout là-bas au bout du continent, Messire Jacques nous attend, Depuis toujours son sourire fixe, Le soleil qui meurt au Finistère. Ultreïa ! Ultreïa ! E sus eia Deus adjuva nos ! A chaque pas, nous devenons des frères Patron St Jacques, la main dans la main Chemin de Foi, chemin de lumière Voie millénaire des pèlerins. Ultreïa ! Ultreïa ! E sus eia Deus adjuva nos ! Mr St Jacques écoutez notre appel Des Pyrénées à Compostelle, Dirigez-nous du Pied de cet autel, Ici-bas et jusqu'au Ciel. Ultreïa ! Ultreïa ! [...]
[...] Un proverbe dit que le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle commence à la porte du pèlerin. Donc il n'y a pas de point de départ banalisé, et il n'y a pas non plus de chemin stéréotype. Mais, on remarque quand même que selon le lieu de départ des pèlerins, des lieux de passages obligatoires, et de rassemblement. On peut définir six grands axes de passage, dont cinq terrestres et 1 maritime : El camino Francés Il est un fleuve composé de quatre Via routes : La Via Podiensis (1530 qui tire son nom du Puy-en-Velay ; lieu de rassemblement et lieu de pèlerinage marial ; ce chemin est balisé comme GR 65 dès Genève ; le trajet Genève-Le Puy est appelé Via Gebennensis Les Via Gebennensis et Via Podienses passent par Genève, Lyon ou Valence, Le Puy-en-Velay, Conques, Moissac, Ostabat. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture