- Le Droit est un ensemble des lois officielles établies par un État (Droit positif, c'est-à-dire le peuple).
C'est aussi la revendication d'une liberté, c'est le pouvoir moral d'accomplir un acte.
- La justice et l'idéal d'un ordre social, autrement dit c'est une vertu.
C'est aussi l'institution judiciaire d'un État.
- La loi est un déterminisme absolu régissant la nature, c'est-à-dire des lois physiques.
C'est aussi l'obligation énoncée par l'État à laquelle toute personne devrait se soumettre même quand elle a la possibilité matérielle de s'y dérober. Donc la loi oblige mais elle ne contraint pas (...)
[...] C'est aussi l'institution judiciaire d'un État. La loi est un déterminisme absolu régissant la nature, c'est-à-dire des lois physiques. C'est aussi l'obligation énoncée par l'État à laquelle toute personne devrait se soumettre même quand elle a la possibilité matérielle de s'y dérober. Donc la loi oblige mais elle ne contraint pas. Nature et caractéristique du droit : - le droit à une dimension métaphysique car il dénonce ce qu'il devrait être par opposition à ce qu'il est. En ce sens il relève du domaine de la morale. [...]
[...] Les droits de l'homme expriment non seulement une législation universelle. Les fondements de la déclaration de 1789 sont explicitement métaphysiques, car en est présent l'être suprême. En 1948, les considérants de la déclaration universelle des droits de l'homme font plutôt appel aux expériences de l'humanité, et se présente plutôt comme une solution aux maux dont elle soufre. Les articles de la déclaration universelle des droits de l'homme sont donc présentés comme des évidences. Pourtant on les accuse souvent de véhiculer des valeurs chrétiennes et occidentales. [...]
[...] La justice sociale n'est jamais un absolu. Elle se ramène toujours à un compromis de nature provisoire. III/ Le droit naturel : Les philosophes exprimèrent longtemps l'idée d'une justice idéale pour le concept de droit naturel. Un concept problématique puisque dans la nature, il n'y a que des faits. Dans l'Antiquité les sophistes considéraient que le droit devait reproduire l'ordre naturel car celui-ci est juste, Le Droit repose donc sur la force. Rousseau critiqua tout droit du plus fort qu'à cette notion est dépourvu de sens, en effet le plus fort n'a pas besoin du droit. [...]
[...] Cette revendication risque de nuire à l'ordre et à la paix sociale. La loi est destinée à les maintenir. - Le code pénal est un recueil de loi définissant les droits de l'État par rapport aux délinquants. Les lois pénales déterminées les châtiments et servent de limites pour les juges. II/ Le Droit en quête de légitimité : - pour que le droit soit respectable, il doit refléter un idéal de justice, c'est-à-dire un idéal moral. Chacun croit savoir ce qui est juste et injuste, mais l'idée de justice se confond alors avec un sentiment subjectif qui ne convient pas à l'ordre politique. [...]
[...] Pourtant ce droit est réel chaque fois que la loi défend la force. Si Le Droit du plus fort existé il serait instable et absurde puisque la force et une puissance physique. Les jurisconsultes de la renaissance défendaient un droit basé sur la raison, c'est-à-dire un droit naturel. Le droit naturel résulte des principes de la droite raison qui nous font connaître qu'une action est moralement honnête ou malhonnête (Grotius, 1583-1645) avant qu'il y eut des lois faites il y avait des rapports de justice ; dire qu'il n'y a rien de juste et d'injuste que ce qu'ordonne les lois positives, c'est-à-dire qu'avant qu'un eut tracé des cercle, les rayons étaient point égaux (Montesquieu, L'esprit des lois, I1) IV/ Les droits de l'Homme - Kant tient une position plutôt proche de la paix perpétuelle. [...]
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