Fatalité, destin, philosophie, Jacques le Fataliste, tragédie, liberté, causalité, moutons de panurge, déterminisme, dissertation, hasard
Avec la mondialisation, nous avons davantage de connaissances des maux et problèmes du monde entier. On voit que des associations sont créées pour changer les choses mais ce ne sont que des minorités. De façon générale, les individus s'incèrent dans une masse et leurs seul moyen de protestation sont les grèves et les revendications. Certains n'y prennent jamais part et ne semblent pas être ancrés dans la réalité. Ils semblent vivre leur existence sans se soucier de tout ce qui les entoure. On peut se demander si accepter le monde tel qu'il est, est-ce être fataliste ? Tout d'abord, nous verrons la signification d'accepter le monde, puis l'approche fataliste-destin, ensuite le déterminisme et pour finir comment peut-on concilier déterminisme et liberté.
[...] Nous nous demandons si la conciliation déterminisme/liberté est possible. Si on ne reconnaît pas ou n'admet pas le déterminisme, on ne peut être libre. Il s'agit de reconnaître le déterminisme et de faire avec, pour voir où sont nos choix. Le problème de la liberté dépend d'une part du niveau moral et politique et d'autre part du niveau philosophique. C'est dans ce domaine que se pose la question de savoir si la liberté existe belle et bien ou si elle n'est qu'une illusion. [...]
[...] De plus, on peut se demander si la liberté n'est pas synonyme d'ignorance vis-à-vis de ce qui nous détermine à agir. Pour rester libre, on doit faire quelque chose ; c'est obligatoire. Conclusion Finalement, l'axe central de la problématique est la liberté. L'Homme se revendique être libre. C'est bien souvent une illusion qui permet de mettre en lumière que pour lui, il n'y a pas contrainte à la liberté. On parle alors plus de déterminisme que de fatalité d'acceptation du monde. [...]
[...] Ici, on peut donc parler de la fatalité du paresseux. Il suit son destin, sa fatalité, celle du monde en général, sans pour autant y participer. Le citoyen suit l'avenir. On peut parler de moutons de panurge. C'est suivre la masse donc ne pas avoir d'opinion personnelle ni de libre arbitre. Donc accepter le monde dépend de chaque individu. peut maintenant s'interroger sur la place de la fatalité dans l'acceptation du monde II. Le fatalisme et le destin vont de pair Le terme fatalisme est formé de la racine fatum qui, en latin, signifie le destin C'est donc ce qui a été dit ou écrit sur le Grand Rouleau (Diderot, Jacques le fataliste et son maître, 1796). [...]
[...] Voici une question importante à se poser ! On suppose que lorsque l'on accepte le monde tel qu'il est, on le tolère avec ses défauts et ses avantages. Peut-être que certains individus tenteront de le changer pour l'améliorer ou pour y trouver des privilèges. D'autres ne voudront pas le changer : ils attendent de voir ce qu'il se passera. Il s'agit de ne pas vouloir changer. La seconde possibilité est que les moyens ou l'envie de le faire ne sont pas présents. [...]
[...] Elle est inévitable, on n'a pas le choix. Le déterminisme signifie que même si on ne reconnaît pas les causes, on affirme qu'il y a des mécanismes. On peut d'ailleurs considérer que tous les phénomènes de l'univers obéissent à des lois universelles : tout ce qui se produit dans le monde à une cause. Tout est déterminé. Mans qu'en est-il réellement du déterminisme chez l'Homme ? Il existe différentes sortes de déterminisme : technologique, religieux (surtout au Moyen-âge), social, psychologique, biologique, environnemental. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture