Discours, idéologie, Liberté, égalité, révolution, démocratie, politique
Le discours idéologique est un discours qui se fonde sur des certitudes : une « valeur centrale de cohésion », c'est-à-dire qui fait tenir l'ensemble du discours pour qu'il ait l'apparence d'être cohérent, pour qu'il propose une vision du monde politique rassurante, ordonnée et organisée. Le discours idéologique sert à convaincre ceux auxquels il est destiné de sa vérité, il les invite à croire à sa validité absolue, sans contestation possible. C'est un discours performatif, c'est-à-dire qui cherche à conserver ou à changer la vision du monde qu'ont les récepteurs du discours.
L'idéologie est une idée dont le but est de pousser à l'action ou à l'inaction.
Dans une société politique, civilisée, et donc démocratique a fortiori, les idéologies politiques
[...] Le discours idéologique. C'est un discours qui se fonde sur des certitudes : une valeur centrale de cohésion c'està-dire qui fait tenir l'ensemble du discours pour qu'il ait l'apparence d'être cohérent, pour qu'il propose une vision du monde politique rassurante, ordonnée et organisée. Le discours idéologique sert à convaincre ceux auxquels il est destiné de sa vérité, il les invite à croire à sa validité absolue, sans contestation possible. C'est un discours performatif, c'est-à-dire qui cherche à conserver ou à changer la vision du monde qu'ont les récepteurs du discours. [...]
[...] Donc, le seul problème qu'ils vont rencontrer, c'est si leur passion de la liberté les conduit à ne plus du tout s'intéresser à leurs compatriotes, les conduit à ne s'intéresser qu'à leurs enfants, leur jardin, Pour Tocqueville, la société américaine pourra souffrir de l'individualisme Home sweet Home Cela poserait un problème car les américains ne s'intéresseraient qu'à leur liberté de s'enrichir, d'accumuler, à s'élever dans la société. Ils en oublieront de se servir de leur liberté politique : liberté qui s'use quand on ne s'en sert pas. On risque alors d'en laisser d'autres gouverner à notre place. Il y a donc une valeur centrale de cohésion qui va pousser à agir. Si en politique, il n'y a pas d'acteurs politiques qui défendent les idéologies, qui s'affrontent devant le public des spectateurs que sont les populations de ces états démocratiques, alors il n'y a plus de démocratie. [...]
[...] Il dit que les Français préfèrent être égaux dans la servitude, que libre et inégaux Ces sociétés de la vieille Europe ont connu des inégalités (privilèges). Sieyès met en évidence que la liberté n'est pas égale pour tous car certains ont des libertés, et d'autres non. Il parle alors de privilège et non pas de liberté. Tocqueville oppose les sociétés vierges. Les américains n'ont donc pas un amour aussi important que les européens pour l'égalité. Leur passion est la liberté, liberté de s'occuper de leur jardin ; c'est s'occuper de leur propre enrichissement. [...]
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