Cette question peut avoir un aspect choquant puisque les deux termes principaux « se méfier » et « certitudes » sont en contradiction et en opposition. Se méfier de quelque chose signifie que la chose en question possède un sens caché auquel il faut faire attention et qui peut présenter un danger et nous induire en erreur. Une certitude est un objet ayant subi l'expérience de la raison de l'esprit humain. Une certitude est une vérité que l'on pense détenir d'après notre raison et nos connaissances. Les deux termes sont en opposition, car le caractère préjudiciable engendré par une absence de méfiance peut mettre en doute le détendeur de certitudes. Mais le caractère de confiance et de sûreté qu'inspire la certitude nous évite le doute et la méfiance.
[...] Nous devons nous méfier de nos certitudes. Les certitudes s'appuient sur notre raison et sur nos connaissances. Notre expérience dans un domaine renforce notre certitude à penser quelque chose. La vérité, nous pensons la détenir lorsque l'on est certain de quelque chose, de notre idée. Cependant, on doit prendre un certain recul et savoir faire la distinction entre la vérité et la réalité. En effet, la vérité est le jugement que l'on fait sur un fait ou sur un aspect du réel. [...]
[...] Les certitudes sont difficiles à contredire, cela peut expliquer qu'on ne doit pas nécessairement se méfier de nos certitudes. On vérifie nos certitudes en faisant intervenir notre raison, c'est-à-dire faire une recherche scientifique avec notre esprit humain, sans pour autant se méfier. Les certitudes peuvent nous faire douter lorsque l'on se retrouve seul à affirmer une certitude face à d'autres qui la contredisent. Ce n'est pas pour autant que l'on doit se méfier. Mais lorsque c'est une personne qui veut nous faire admettre sa certitude (c'est-à-dire nous prouver qu'elle détient la vérité dans un sens), il faut se méfier de celle-ci qui peut être fausse et venir d'une hallucination. [...]
[...] Dans ce cas là, également, il faut se méfier de nos certitudes. Pour les sceptiques, il n'y a pas de vérité absolue. Pour chaque vérité, il y a toujours une vérité contraire. Les sceptiques accentuent l'idée du doute que l'on retrouve dans le caractère préjudiciable lorsqu'il y a absence de méfiance et qui met ainsi le doute au détendeur de certitudes. Pour eux, le doute est essentiel et nous permet de nous rendre compte de la fausse idée concernant l'existence d'une vérité absolue. [...]
[...] Devons-nous nous méfier de nos certitudes ? Cette question peut avoir un aspect choquant puisque les deux termes principaux se méfier et certitudes sont en contradiction et en opposition. Se méfier de quelque chose signifie que la chose en question possède un sens caché auquel il faut faire attention et qui peut présenter un danger et nous induire en erreur. Une certitude est un objet ayant subi l'expérience de la raison de l'esprit humain. Une certitude est une vérité que l'on pense détenir d'après notre raison et nos connaissances. [...]
[...] La confiance qui est instaurée entre les individus permet aux certitudes d'amplifier leur caractère de confiance et de perdurer dans le temps sans se méfier. Les individus se font confiance et ainsi font confiance aux certitudes de chacun à moins qu'ils en doutent. Les certitudes seront remises en cause s'il y a une seule vérité. Les certitudes sont une bonne chose, car elles permettent d'instaurer le dialogue lorsqu'il y a plusieurs certitudes face à une seule vérité. Par exemple, un homme a la certitude d'avoir vu un aigle dans le ciel. Il le dit à son ami qui, lui, doute de sa certitude. [...]
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