Dissertation de Philosophie sur le sujet suivant : "Pourquoi veut-on changer le monde ?".
[...] En effet, l'homme a la capacité de juger le monde qui l'entoure et d'analyser ses actions. De plus, une prise de conscience est observée. La conscience est un pouvoir de réflexion. Sans elle, on ne réfléchirait pas sur notre identité, sur le monde. Elle sert à créer mon monde et le monde qui m'entoure. Lorsque je suis conscient je sais que le monde existe et que j'en fais partie. Nous avons donc pris en compte que notre monde recèle d'abondantes contraintes. Le désir de changer le monde naît d'une insatisfaction de la réalité. [...]
[...] Pourquoi veut- on changer le monde ? Introduction Le monde, est l'ensemble de tout ce qui existe, synonyme d'univers. Il peut être défini comme la terre en tant qu'appartenant à un système planétaire et, par extension, tout système comparable dans l'univers. Aujourd'hui celui-ci peut prendre plusieurs dimensions telles que le monde du travail, de l'entreprise au sens large le monde social. Changer c'est modifier une personne, une chose, la rendre différente de ce qu'elle était. Depuis des décennies, l'homme cherche à créer, à transformer son espace qui l'entoure, pour ainsi changer le monde le rendre plus juste Ainsi, sur le sujet Pourquoi veut-on changer le monde ? [...]
[...] Il tient une place centrale, il est à l'origine de notre création Si l'homme parvient à devenir dieu il pourra alors, changer le monde et mettre en place sa propre histoire : il deviendra alors le tout puissant Avec la mort de dieu, l'homme serai donc d'une certaine façon l'essence même du monde Nietzsche se réjouit de la mort de Dieu, d'où la montée de l'athéisme en Europe. Cette période sans fin est appelée le nihilisme. C'est une phase où l'on ne croit plus en rien, ou il n'y a plus rien. Cela est positif car cela permet un nouveau sol. La mort de dieu ouvre de nouveaux horizons. Les valeurs rendent l'Homme libre et construisent un monde nouveau. L'être humain, veut donc changer le monde en dépassant dieu : le concept de domination peut être institué. [...]
[...] De plus, apparaît au milieu du XXème siècle, au sein des sociétés contemporaine, une société de consommation ou l'homme consomme beaucoup, désire toujours plus et ou l'on a envie de neuf. Si nous changeons le monde, notre passé est d'une certaine façon lui aussi transformé. Ce passé concerne à la fois mémoires, mythes mais aussi les croyances. Or l'homme, à toujours été attacher à son passé. Aujourd'hui, nous essayons de trouver "le pourquoi du comment" qui donne la possibilité d'avancer plus loin et toujours plus. Il en ressort alors que l'homme ne veut pas "changer le monde". La connaissance du passé nous permet de maîtriser l'avenir. [...]
[...] En effet, l'idée de transformer le monde peut bouleverser les habitudes des individus. Cela se traduit pas une élévation du mécontentement les relations avec autrui peuvent alors se dégrader. Pour Hobbes, dans la cohabitation inorganisée d'individus qui aspirent tous à la satisfaction des mêmes désirs, l'égalité des aspirations se transforme naturellement en rivalité, la méchanceté se généralise et conduit à une guerre de tous contre tous puisqu'il rend précisément impossible la satisfaction des désirs de la plupart des individus. De plus nous n'avons pas les mêmes besoins, ce qui me paraît essentiel ne l'est peut être pas pour les autres. [...]
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