Conscience, Sigmund Freud, renoncement aux pulsions, être humain, philosophie, conscience morale, émotion, Hypolite de Livry
Selon Sigmund Freud, "la conscience est la conséquence du renoncement aux pulsions" ce qui signifie que la conscience permet à l'être humain de contrôler ses pulsions et de ne pas les exécuter. La conscience est une notion importante de la philosophie, elle est une sensation, une perception, alors nous savons déjà nous-mêmes que la conscience apporte le malheur. En effet, quand l'homme hésite entre le bien et le mal, il utilise sa conscience morale pour y réfléchir.
[...] La conscience nous rend-elle nécessairement malheureux(se) ? Selon Sigmund Freud, « la conscience est la conséquence du renoncement aux pulsions » ce qui signifie que la conscience permet à l'être humain de contrôler ses pulsions et de ne pas les exécuter. La conscience est une notion importante de la philosophie, elle est une sensation, une perception, alors nous savons déjà nous même que la conscience apporte le malheur. En effet, quand l'homme hésite entre le bien et le mal, il utilise sa conscience morale pour y réfléchir. [...]
[...] La conscience nous rend-elle malheureux ? La conscience peut nous rendre malheureux à cause de plusieurs facteurs. Dans un premier lieu, on peut être influencé par les autres et ne plus faire ce que l'on pense. En effet, faire quelque chose contre nos principes peut nous rendre malheureux et nous peser sur la conscience. Comme l'a dit Hypolite de Livry (XVIIIe siècle), « la franchise ne consiste pas à dire ce qu'on pense, mais à penser ce qu'on dit ». De plus, faire quelque chose contre nos convictions vient à renoncer à ses principes, comme, par exemple, dire être d'accord avec quelqu'un, mais ne pas l'être et ne pas lui dire pour ne pas le blesser, ou encore changer de camp pendant une guerre ce qui reviendrait à abandonner ses convictions et en affirmer de nouvelles. [...]
[...] La conscience nous impose l'obscurité et les problèmes du monde, alors que l'humain veut vivre en paix comme inconsciente de ce qu'il se passe ailleurs. La conscience est aussi une source de malheur par son aspect de privations et d'interdictions : elle nous empêche de laisser nos désirs se libérer. Les connaissances que l'être humain a obtenues sur la conscience nous obsèdent et nous limitent. La conscience est aussi une forme d'éducation. En effet, l'éducation apporte des obligations, mais peut empêcher l'Homme d'avancer dans ses projets. [...]
[...] La conscience nous rend-elle heureux ? Dans un second lieu, on peut dire que la conscience peut également rendre heureux. En effet, la conscience est une source de liberté et la liberté apporte le bonheur à l'être humain. La conscience permet à l'humain de faire des choix et prendre des décisions par lui-même sans avoir besoin de demander de l'aide à quelqu'un qui pourrait très bien mal le conseiller, alors la conscience est donc présente pour nous apporter son aide et non assister dans nos choix. [...]
[...] Ainsi, en conclusion, après s'être demandé si la conscience rend malheureux ou non, on peut donc dire que la conscience ne rend pas forcément malheur et, mais pas heureux non plus. La conscience reste une chose difficile à comprendre, mais elle permet à l'humain de rester conscient de ce qu'il fait et ne pas aller contre ses propres principes, ses propres valeurs. Mais, notre conscience s'appuie notre expérience et nos savoirs pour agir, donc il faut l'écouter et s'en méfier en même temps. On pourrait d'ailleurs se demander si la conscience est une source de libertés ou de contraintes. [...]
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