La conscience est la partie de l'esprit qui fait agir les personnes, puisqu'elle est à l'origine de la fusion du corps et de l'esprit. Pour Descartes la conscience est omniprésente puisqu'une personne par exemple a conscience de son corps, de ses membres. Il est possible par exemple à une personne sans se voir de savoir dans quelle position elle est.
La conscience : le moi serait alors l'esprit en quelque sorte. Pour Freud, le moi ou partie consciente est en conflit avec le ça. C'est ce conflit qui serait à l'origine des différents sentiments que traduit le moi. Ce conflit intérieur entre le ça inconscient et le moi est à l'origine par exemple de l'angoisse ressentie par la partie consciente : le moi. Il est possible alors de se demander : sommes nous à chaque instant conscients du moi ? (...)
[...] Le fait même que de douter de l'existence de la conscience prouve que le moi en tant que conscience existe. Nous sommes donc conscients intimement de notre moi en permanence L7 à L9. Suivant David Hume il est possible d'avoir des états où l'on n'a pas conscience du moi donc ou le moi en tant que je n'existe pas. Le moi pour commencer résulterait de différentes perceptions. Il doit plonger en lui-meme pour le trouver. Il n'en ait donc pas conscient par des sentiments réels. [...]
[...] Il n'est alors pas conscient de lui-même. C'est-à-dire ça conscience n'existe pas donc il n'existe pas. Il ne serait alors pas à chaque instant intimement conscient de ce que nous appelons notre moi.L15 à 17 Hume dans ce texte nuance la théorie de certains philosophes qui pensent que nous sommes en permanence conscients intimement de notre moi. Or dans certains états tels que le sommeil on ne perçoit pas les sentiments réels de notre moi. On ne perçoit pas notre moi. [...]
[...] Pour Descartes la conscience est omniprésente puisqu'une personne par exemple a conscience de son corps, de ses membres. Il est possible par exemple à une personne sans se voir de savoir dans quelle position elle est. La conscience : le moi serait alors l'esprit en quelque sorte. Pour Freud, le moi ou partie consciente est en conflit avec le ça. C'est ce conflit qui serait à l'origine des différents sentiments que traduit le moi. Ce conflit intérieur entre le ça inconscient et le moi est à l'origine par exemple de l'angoisse ressentie par la partie consciente : le moi. [...]
[...] Descartes par exemple pense qu'on ne peut dissocier l'esprit du corps. C'est à dire la conscience du corps. On est intimement conscient de son moi puisqu'il est lié au corps. Un individu même sans ce voir peut savoir la position dans laquelle il est. Il est donc intimement conscient de son corps. Il n'est pas utile de le démontrer, la conscience résulte de l'esprit qui fait partie intégrante de nous puisqu'il est situé dans la glande pinéale. L1 à L4. [...]
[...] Le moi et la perception que l'on en ce n'est pas l'individu. Le moi ici est la conscience elle-même. Le philosophe ne se regarde pas en tant que sujet mais plutôt conscience en tant qu'esprit. Nous ne serions alors pas intimement conscient à chaque instant du moi L13 à 15. De plus certains états laissent place à l'inconscient comme la théorie de Freud. Le rêve et d'autres actes relèveraient de l'inconscient. Il y aurait donc des moments où on ne serait pas conscient ici. [...]
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