Kant à démontré que l'homme ne peut ni vivre harmonieusement avec autrui, ni s'en séparer. La présence des autres est une obligation pour que la conscience de soi existe. En effet, l'homme pense à s'associer afin d'être plus fort mais il n'oublie pas de s'isoler pour son intérêt personnel. Kant à appelé cette opposition l' « insociable sociabilité ». Mais est-ce que la conscience de soi perd sa liberté en reconnaissant l'existence d'autres consciences de soi ?
[...] Mais dés que le regard de cette personne croise le nôtre, on se sent coupable et on ressent un sentiment de honte. Autrui à la même fonction qu'un miroir qui reflète cette image péjorative qu'on s'approprie. On change donc de comportement pour l'autre et ne sommes plus libre www.oodoc.com II) Est t-on vraiment libre lorsqu'on reconnaît l'existence d'autres consciences de soi? En reconnaissant l'existence d'autres consciences de soi, je ne perds pas ma liberté. Par définition, la liberté signifie l'absence de c ontraintes et l'expression de nos désirs sans rencontrer d'obstacles extérieurs. [...]
[...] On est donc obligé de respecter l'autre s'il l'on veut avoir des relations et donc ne pas être solitaire. Au premier abord on pourrait trouver cela intéressant d'être seul sur une île déserte : plus d'interdit, plus perso nne pour critiquer. Cet homme ne peut pas se dire libre car il est seul. Il n'aura d'existence pour personne, donc la notion de liberté n'existera plus, tellement elle sera permanente et donc encrée en lui. Il ne réalisera plus sa liberté car il n'aura plu s aucunes contraintes. [...]
[...] Kant à appelé cette opposition l' insociable sociabilité Mais est ce que la conscience de soi perd sa liberté en reconnaissant l'existence d'autres consciences de soi ? Je vais d'abord démontrer que les autres consciences de soi peuvent être un obstacle à la liberté de ma conscience. Ensuite, je vais montrer qu'on n'est pas forcément libre même en recon naissant l'existence des autres. Les autres consciences de soi sont t -il des obstacles à ma liberté? Où que l'on aille autrui se trouve au même endroit que moi. [...]
[...] Mais essayer par la suite de convaincre l'autre que ça n'arrive rarement de boire, n'améliorera pas mon image mais au contraire l'autre pourrait nous ajouter des qualificatifs bien plus néfastes à notre égard en étant pris pour un hypocrite, un mythomane. Je suis encore moins libre lorsque je sais que je me reconnais dans l'image qu'autrui à de moi. En effet, si autrui à peint mon portrait comme étant un timide, je vais le croire car il m'objective et m'enlève donc toute possibilité pour ma cons cience réfléchie de faire des choix quant à la véracité de ses propos. [...]
[...] Lors des guerres, il est indispensable de s'associer entre les individus au nom de la liberté, auquel cas les hommes passeraient le temps de leur existence à s'entretuer. L'i ndividu isolé se confronte aux dangers et doit donc assurer sa sécurité qui est un gage de la liberté. L'enfer, c'est les autres comme le disait Sartre. Malgré des contraintes d'autrui, la conscience de soi ne perd pas sa liberté même si on ne peut f aire tout ce que l'on souhaite. [...]
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