Connaissance de soi, connaissance objective de soi, moi, fiction, inconscient, identité personnelle, conscience morale, conscience psychologique, doute cartésien, Descartes, Kant, Argument du rêve, Freud, psychisme
Parfois, la façon dont les autres me voient ne correspond pas à la représentation que j'ai de moi-même. Qui a raison ?
Parce que je ne me comporte pas en société tel que je suis réellement. En effet, en société, on joue un personnage, on adapte son comportement à la situation et aux personnes qui nous entourent, et l'on n'est pas vraiment soi-même.
D'autant plus qu'une illusion est issue de nos désirs : ne risque-t-on pas de se voir tel qu'on désirerait être plutôt que tel qu'on est réellement ?
[...] La connaissance de soi est-elle une illusion ? =>Peut-on vraiment se connaître ? Qu'est-ce qui pourrait faire obstacle à la connaissance de soi ? *Parfois, la façon dont les autres me voient ne comporte pas avec la représentation que j'ai de moi-même. Qui a raison ? -Parce que je ne comporte pas en société tel qu'on est réellement. En effet, en société, on joue un personnage, on adopte son comportement à la situation et aux personnes qui nous entourent, et l'on n'est pas vraiment soi-même. [...]
[...] ->dramatisation : mise en récit, en histoire Rêve = un moyen de sublimer, de satisfaire le ça sans choquer le surmoi et de maintenir l'équilibre psychique. IV- Apports et limites de la théorie de Freud Les apports *Importance de l'enfance dans la formation de la personnalité. Je suis ce que mon passé m'a fait. ->déterminisme psychique (passé->présent, enfant->adulte) But de la cure psychanalytique : « je suis mon passé » « j'ai un passé » Psychiatre (médecin)/ psychanalyste /psychologue/psychothérapeute La plupart de nos désirs refoulés sont des désirs sexuels. [...]
[...] Une théorie peut être dite scientifique si elle est falsifiable, si je peux imaginer une expérience qui si elle se produisait permettrai de montrer que la théorie est fausse. Sa théorie ne l'est pas et est donc non-scientifique = théorie interprétative CONCLUSION : Si, à priori, il semble que la conscience permette une connaissance de soi, il apparaît que cette connaissance se heurte à des difficultés : problème de la subjectivité de l'identité personnelle, et de l'inconscient. Reste que, même si elle n'est jamais totale, cette connaissance peut s'accroître par la réflexion sur soi, et par l'aide d'autrui (psychanalyse). [...]
[...] B-Kant : la conscience permet de se penser et non plus de se sentir Partie 1 : l'homme est supérieur car il utilise le "je". Cette action fait de lui un sujet psychologique doué d'une identité personnelle (permanence du moi) et un sujet moral (dignité, statut de personne, être digne de respect) Partie 2 : réponse à une objection possible : ce n'est pas parce que le n'est pas prononcé que la conscience de soi est absente. Certaines langues n'utilisent pas le quand elles sont utilisées (espagnol) Partie 3 : cependant cette conscience de soi n'existe qu'en germe chez l'enfant, elle s'acquiert avec les stimulations du monde extérieur Enfant sauvage de Truffaut Vendredi ou les limites du Pacifique Michel Tournier : histoire de robinson qui a force de solitude perd totalement conscience de lui Voir préface de Gilles Deleuze : si on est seul très longtemps on perd notre structure autrui décentrer de soi-même à se mettre à la place de l'autre, conscience de soi comme si on se regardait Partie 4 : l'acquisition la conscience de soi est donc un passage décisif et irréversible qui permet de penser, et donc d'amorcer une connaissance de soi Il a la pensée= conscience réfléchie à s'interroger sur soi et décide de commencer à se connaître Conscience= pouvoir de synthèse = capacité à unifie la diversité de nous respecter 1er niveau =synthèse l'ensemble des informations fournies par les news de manière à percevoir quelque chose d'unifié un monde 2ème niveau = synthétise nos expériences et de rapporter à soi les expériences vécues et assure une permanence dans le temps. [...]
[...] Selon Freud, la responsabilité envers nos actes est donc inexistante car rien n'est notre faute mais celle de notre inconscient. Cependant, Sartre nous explique que ne pas prendre ses responsabilités face à ses propres actes et les remettre à notre inconscient est le fait de faire preuve de mauvaise foi. Ensuite, Sartre nous montre qu'il s'agit de la voie de la facilité de ne pas être responsable ainsi que d'en occulter la culpabilité. De plus, cela pose un souci autour des libertés et de la vie en société. [...]
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