Tout d'abord, vouloir comprendre qui je suis n'a de sens, car la connaissance de soi est théorique. Cela est dit « abstrait » dans la mesure où l'on ne peut pas se comprendre totalement, la conscience de soi n'est jamais parfaite. Pour commencer on ne peut pas se comprendre complètement dans la mesure où, ce que nous faisons est déterminé par des paramètres que nous ne contrôlons pas (...)
[...] Ils ne trouvent aucun intérêt d'être avec d'autres individus. En restant devant l'écran d'ordinateur, on ne cherche pas à se distinguer des autres, à s'enrichir au niveau social et culturel. Autrement dit-on s'abrutie, on croit qu'on se développe en créant de nouvelle situation de combat par exemple. On peut conclure que la conscience de soi est un bien indispensable au fonctionnement physique et psychologique de l'homme. Cela permet une avancée dans l'avenir et un moyen de souvenir pour le passé. Sans cela l'homme sera rien. [...]
[...] Ce qui est proche de l'homme n'est pas toujours très clair. On passe notre vie dans la conscience, mais sans la connaître et sans se connaître en soi. C'est pourquoi, le monde extérieur paraît toujours plus clair que celui de notre monde intérieur. Dans le monde extérieur, il y a des objets aux formes précises et distinctes, des choses mesurables. Le monde de l'objectivité et de la matière qui s'impose distinctement à la pensée. Par exemple lorsque l'on utilise le sens de l'ouïe, et que l'on sent une boîte. [...]
[...] On va croire à la capacité d'évoluer et non de rester comme il est. L'individu pourra à la fois choisir, décider et contrôler ces actes ; pour être véritablement considérer comme personne, être respecté pour ce qu'il est. Ensuite dans un second temps la conscience de soi nous permet une certaine liberté vers un bonheur. Comme on l'a développé dans les parties précédentes, la conscience de soi au niveau du corps et de l'esprit permet un libre arbitre, autrement dit une forme de liberté. [...]
[...] De ce fait cela n'a pas toujours de sens de vouloir comprendre qui on est, car nous ne nous souvenons pas de tout. Enfin on peut parler de conscience abstraite dans la mesure où notre conscience est vaste. On ne peut pas tout explorer. Pour se comprendre, il faudrait se poser des questions constamment pour connaître l'impact que cela aura sur nous. Avant de faire quelque chose, il faudrait méditer ou réfléchir sur les effets que cela aurait autour de nous. [...]
[...] Elle ne peut pas être ignorante à elle-même, et connaître tout le reste. Bergson dit qu'une certaine ignorance de soi est peut être utile à un être qui doit s'extérioriser pour agir. On peut se demander si la conscience peut se connaître elle-même. On peut exprimer deux points de vue à ce sujet là. D'un côté on peut retrouver la position de Freud. Tout d'abord nos choix sont faits dans notre cerveau. Notre esprit agit et fonctionne grâce à celui-ci. Néanmoins notre cerveau est déterminé par des paramètres différents. [...]
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