De nos jours, le travail est au centre de notre vie et est devenu quasiment indispensable. A l'origine "trepalium" qui était un instrument de torture, le travail est maintenant qualifié comme une activité professionnelle régulière et rémunérée. Dans un article de la revue Sciences Humaines d'août-septembre 1997, Christien Baudelot et Michel Gollac démontrent que "le travail ne fait pas le bonheur mais il y contribue". Nous pouvons alors nous demander comment le travail peut-il être source de bonheur ? Après avoir vu l'aspect économique du travail, nous nous attarderons sur son aspect psychologique et social, et enfin sur ses désagréments (...)
[...] Sujet d'écriture personnelle : Le travail ne fait pas le bonheur mais il y contribue De nos jours, le travail est au centre de notre vie et est devenu quasiment indispensable. A l'origine trepalium qui était un instrument de torture, le travail est maintenant qualifié comme une activité professionnelle régulière et rémunérée. Dans un article de la revue Sciences Humaines d'août-septembre 1997, Christien Baudelot et Michel Gollac démontrent que le travail ne fait pas le bonheur mais il y contribue Nous pouvons alors nous demander comment me travail peut-il être source de bonheur ? [...]
[...] Le travail devient alors tout le contraire de l'épanouissement et ne procure alors aucun bonheur. Par ces temps de crise, le travail est devenu une véritable obsession et chacun craint de perdre son emploi, ce qui devient un stress quotidien. De mauvaises conditions de travail, à l'inverse de contribuer au bonheur, ont parfois poussé au suicide comme chez France Telecom. Le travail est parfois aussi un facteur d'exclusion. Les sans-emplois sont exclus de notre société. Par peur de perdre leur emploi, certains employés sont alors obsédés par leur profession. [...]
[...] Effectivement, avoir de l'argent fait plaisir mais pouvoir le dépenser aussi. En premier lieu, le salaire permet de pouvoir satisfaire nos besoins primaires, nos besoins physiologiques tels que se nourrir, se loger, s'habiller En second lieu, le salaire permet d'assouvir des besoins secondaires tels qu'aller au cinéma, faire du sport en club, acheter des produits de marque, etc. Un seul salaire ne suffit plus dans un ménage, les femmes travaillent aussi pour pouvoir avoir un second salaire afin de satisfaire plus de besoins tels que partir en vacances, changer de voiture D'après la pyramide des besoins, pour être le plus heureux possible un individu doit combler ses physiologiques jusqu'au besoin d'accomplissement de soi. [...]
[...] Pour conclure, le travail, sous ses aspects économique, psychologique et social, contribue énormément au bonheur. Il permet de subvenir à ses besoins, aide à s'accomplir soi-même, à s'intégrer dans la société Cependant, le travail ne fait pas le bonheur ; d'autres sources de bonheur existent. De plus, le travail ne peut pas faire notre bonheur mais seulement y contribuer puisqu'il a parfois des effets néfastes sur notre vie. Mais si le travail ne fait que contribuer à notre bonheur, nous pouvons nous demander quels autres moyens nous importent pour parvenir au bonheur ? [...]
[...] Les femmes, longtemps laissées à l'écart chez elles avec les enfants, sont de plus en plus nombreuses à travailler depuis la seconde guerre mondiale. Elles se sentent plus valorisées. Une étude a prouvé que depuis que les femmes travaillent , le nombre de suicides chez le sexe féminin a considérablement diminué, ce qui prouve que le travail contribue au bonheur. Il est indéniable que le travail participe souvent au bonheur, mais hélas ce n'est pas toujours le cas. Ainsi, le travail ne fait pas que le bonheur et peut être à l'origine de craintes et d'exclusions. [...]
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