Le bonheur tient-il à la satisfaction de nos désirs, souffrance, désirs primaires, La Nouvelle Héloïse, pulsions, frustration, condition d'homme, Jean-Jacques Rousseau
On peut à première vue penser que le bonheur tient à la satisfaction de nos désirs. En effet, le désir est une tendance consciente vers un objet jugé bon ou imaginé bon, c'est-à-dire une source possible de bonheur. C'est aussi une sensation de manque qui tend à être satisfaisante. Tandis que le bonheur est un état agréable et durable de plénitude d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents. C'est aussi un synonyme de satisfaction.
[...] De plus, l'homme éprouve du bonheur en se sortant de situations difficiles. Par ailleurs, une vie sans désirs serait morne puisque cela conduit à ne plus être un homme, car cela signifie la fin de la souffrance. En effet, l'homme est contraint au malheur. Ainsi, le manque, la frustration, les désirs nous rappellent que chaque jour nous sommes vivants. Conclusion Nous avons donc montré que la satisfaction de nos désirs pouvait conduire au bonheur, mais que ce n'est pas toujours le cas. [...]
[...] Le bonheur tient-il à la satisfaction de nos désirs ? On peut à première vue penser que le bonheur tient à la satisfaction de nos désirs. En effet, le désir est une tendance consciente vers un objet jugé bon ou imaginé bon, c'est-à-dire une source possible de bonheur. C'est aussi une sensation de manque qui tend à être satisfaisante. Tandis que le bonheur est un état agréable et durable de plénitude d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents. [...]
[...] En effet, il est facile de se nourrir. De plus, ces désirs ne cessant jamais ne nous détachent pas de notre condition d'homme. De même, ces désirs étant simples à satisfaire ils sont susceptibles de nous procurer du bonheur facilement. Par ailleurs, l'homme doit apprendre à vivre en sachant pertinemment qu'il ne peut satisfaire ses désirs et connaitre le bonheur éternellement. Notamment, les désirs que l'homme se cache, dont il a honte, car ils sont contraires aux normes. Ainsi, l'homme doit apprendre à vivre avec sa part d'obscurité. [...]
[...] De ce fait il est impossible d'atteindre le bonheur en satisfaisant nos désirs. C'est un cercle sans fin contre lequel on ne peut lutter. De plus, vu que le désir est infini et qu'il évoque une sensation de souffrance nous serions toujours malheureux. Ne plus désirer marquerait la fin de notre vie. En effet, les désirs primaires que nous devons satisfaire montrent notre vie. Ne plus désirer signifierait la mort puisque nous ne devrions plus nous nourrir et élever notre condition d'homme. [...]
[...] Le bonheur tient à la satisfaction de nos désirs La satisfaction est synonyme de bonheur. Par conséquent cela signifie que satisfaire ses désirs est nécessaire au bonheur. Ainsi, toute recherche du bonheur conduit à la satisfaction de nos désirs. Par ailleurs, le désir est quant à lui synonyme de frustration, de manque et donc d'insatisfaction. Ce qui entraîne une sensation de souffrance. Ainsi la satisfaction de nos désirs comble cette sensation de manque et provoque un moment de plénitude d'où est exclue toute inquiétude. [...]
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