bonheur, recherche égoïste, cheminement propre à chacun, progrès de la société, bonheur personnel
De nombreux philosophes antiques affirmaient déjà que tous les hommes avaient un même but, être heureux, mais ajoutaient aussitôt que rare étaient ceux à s'accorder sur la définition du bonheur comme s'il y avait une voix propre à chaque. N'est-ce pas parce qu'il n'y a pas de définition commune du bonheur et que chacun la détermine en fonction de son caractère, son histoire et de ses désirs que celui-ci résulte d'une recherche personnelle qui n'engage que lui. Il n'y aurait pas ainsi de bonheur commun et nul autre que nous ne pourrait avoir la connaissance de ce qui nous rendrait durablement heureux. D'une part, on peut se demander si chacun est le mieux placé pour juger de son bonheur, d'autre pas quand bien même le bonheur serait une recherche personnelle cela implique-t-il que l'homme heureux vivrait replié sur lui-même, mais, ne portant d'intérêt qu'à ce qui lui sert dans l'indifférence voire le mépris de tout ce qu'il touche ses prochains.
[...] Ce qui est les meilleurs du point de vue de la morale sont souvent récompensés Bonheur et vertu, il faut souvent choisir Pour Kant il n'y a pas de définition universelles du bonheur chacun a sa propre idée de ce qu'il doit être. En effet l'homme n'est pas omniscient il ne peut pas connaître avec certitude l'avenir. Il ne sait si les choix qu'il a faits aujourd'hui tiendront leurs promesses. Par exemple celui qui recherche la richesse s'expose a de nombreux ennuie. Ce que l'on juge bon actuellement le sera-t-il encore demain. [...]
[...] Certes il peut être louable de sacrifier son bonheur présent à la condition que cela aide au bonheur futur de l'humanité. II. Concilier progrès de la société et bonheur n'est-il pas qu'une illusion ? 1. Une fuite en avant ? Les progrès de l'humanité en terme de techniques, de sciences sont indéniables ce qui a considérablement amélioré la vie humaine. Nous vivons plus longtemps et mieux. Mais cela n'est pas sans contrepartie. Nos besoin sont toujours plus important de consommation ont conduit à une surexploitation de la nature au point que les ressources sont plus rares pour les générations suivantes. [...]
[...] CONCLUSION : Si chacun ne fait que rechercher son propre bonheur cela peut apparaître bien égoïste et immoral. Mais vouloir faire du bonheur une œuvre collective peut s'avérer dangereux. N'y a-t-il pas d'ailleurs des valeurs plus hautes au nom desquels combattre en commun comme celle de la liberté ou de la justice. Cependant on a pu voir quatre qu'être c'était retrouver la joie simple d'exister au milieu de ses semblables et que c'était donc en plein accord avec la vertu. [...]
[...] Mon bonheur passe par l'amélioration de l'ensemble de la société. Comment y parvenir ? En effet tous les biens que nous font rechercher notre égoïsme finissent par s'évanouir au fur et à mesure que la mort approche. En revanche le bien que l'on a fait aux autres nous permet de connaître les plaisirs du partage et les joies de l'amitié ce qui nous aide à supporter les moments difficiles jusqu'au dernier. Bentham prend l'exemple de deux hommes d'on l'un choisit les plaisirs faciles et égoïstes et l'autre le travail et l'abnégation. [...]
[...] D'une part, on peut se demander si chacun est le mieux placé pour juger de son bonheur, d'autre pas quand bien même le bonheur serait une recherche personnelle cela implique-t-il que l'homme heureux vivrait replié sur lui-même, mais, ne portant d'intérêt qu'à ce qui lui sert dans l'indifférence voire le mépris de tout ce qu'il touche ses prochains. Faut-il nécessairement opposé la recherche du bonheur avec les exigences morales de la sociabilité. Pas en quoi le bonheur est un cheminement propres à chacun ? I. En quoi le bonheur est un cheminement propre à chacun ? 1. La fragilité du bonheur. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture