Berkeley, "La critique du pouvoir d'abstraire"

Résumé du document

Nous allons étudier les premiers principes de la connaissance humaine et la critique faite par Berkeley du pouvoir d'abstraire. Notre étude sera menée en plusieurs parties.

Nous nous attarderons sur l'introduction faite par le philosophe, son apologie de l'attitude compréhensive et contemplative, son inspection minutieuse du langage et de l'étude du sens des mots ainsi que la perspective finaliste (...)

Extraits

[...] Il faut placer notre regard àà une certaine distance, àà la bonne distance car l''œœil, l''esprit ne peut se voir voyant. De plus, comprendre toutes les choses exigerait un champ visuel infini. La philosophie s''accommode de notre finitude en se dééfinissant et en s''actualisant comme examen et analyse. Apologie de l''attitude comprééhensive et contemplative Les difféérences dans la manièère de voir le monde sont les difféérences de capacitéés àà voir peu de choses àà la fois, la donnéée naturelle peut-êêtre améélioréée par l''exercice, l''effort et l''attention. [...]

[...] L''homme comme nature naturéée a un pouvoir optique. L''immatéérialisme est associéé àà la myopie mééthodique qui est une arme, il faut approcher au maximum des yeux l''objet, une volontéé de voir par opposition àà la courte vue, la myopie; Perspective finaliste C''est le couronnement de la sagesse, il fait rééféérence àà la totalitéé de l''univers sous l''angle des fins, c''est l''ontologie immatéérialiste qui se laisse déécrire comme une vue d ‘‘ensemble. Si nous éélargissons assez notre vue, nous comprendrons les difféérentes fins, liaisons et déépendances entre les choses, dans quel dessein nous avons éétéé placéés dans le monde. [...]

[...] Les premiers principes de la connaissance humaine Berkeley La critique du pouvoir d''abstraire - premièère partie - Introduction Nous allons éétudier les premiers principes de la connaissance humaine et la critique faite par Berkeley du pouvoir d''abstraire. Notre éétude sera menéée en plusieurs parties. Nous nous attarderons sur l''introduction faite par le philosophe, son apologie de l''attitude comprééhensive et contemplative, son inspection minutieuse du langage et de l''éétude du sens des mots ainsi que la perspective finaliste. Nous verrons ensuite le concept de philosophie de Berkeley au sens de l''éétude de la sagesse et de la vééritéé. [...]

[...] A force de déétours thééoriques, on se retrouve au point de déépart. On pense que la cause est la faiblesse, la finitude et l''imperfection de notre entendement, la faute est plutôôt dans le mauvais usage de nos facultéés car ce serait opposéé aux mééthodes bienveillantes de la providence de croire que Dieu ait donnéé àà l''homme un puissant déésir de connaîître qu''il aurait placéé totalement hors de sa portéée. les difficultéés qui ont ferméé de chemin de la connaissance nous sont imputables Mon but affirme le philosophe, est de déécouvrir quels sont tous les principes qui ont introduit tant de doutes, d''incertitudes; Le travail méérite qu''on y mette toute sa peine, il faut se pencher sur les premiers principes de la connaissance. [...]