Travail, valeurs, gains, liberté, autonomie, réflexion, nature humaine, temps, argent
L'étymologie latine du mot travail, « tripalium », signifie « instrument de torture ». En effet, la valeur du travail peut être vécue comme une non-valeur, une peine, ou même une contrainte. Cependant, la valeur du travail peut également être vécue comme une valeur de productivité et par conséquent de gains. Le travail, exercice d'une profession, production en vue de satisfaire à des besoins d'ordres économiques, est une pratique incontournable dans la vie d'un individu.
[...] Il devient autonome. Sa liberté est affirmée. De plus, le travail est organisé par des lois, comme la loi du 19 mars 1793 « droit du travail », qui encadre notamment la formation, l'exécution et la rupture du contrat de travail. Il garantit également le respect des libertés syndicales et des normes de sécurité au travail, et la protection des travailleurs vulnérables. Enfin, le travail va nécessiter une valeur d'entraide, de coopération. Chaque individu ne pouvant pas exercer de multiples métiers en même temps, l'organisation de la société met en place une répartition des tâches. [...]
[...] Avons-nous nécessairement un gain à travailler ? Introduction L'étymologie latine du mot travail, « tripalium », signifie « instrument de torture ». En effet, la valeur du travail peut être vécue comme une non-valeur, une peine, ou même une contrainte. Cependant, la valeur du travail peut également être vécue comme une valeur de productivité et par conséquent de gains. Le travail, exercice d'une profession, production en vue de satisfaire à des besoins d'ordres économiques, est une pratique incontournable dans la vie d'un individu. [...]
[...] Ce travail va épuiser moralement l'individu, qui se sentira « utilisé » tel une machine. Le travail peut causer en chaque individu un Burn-out. L'individu présentera des signes d'épuisement émotionnel et mental dûs à un excès de travail, trop d'idéalisme, trop d'investissement. L'individu en fait toujours plus, s'isole, nie le malaise jusqu'à un phénomène de dépersonnalisation : attitudes cyniques, comportements autodestructeurs, profonde autodépréciation. En effet, la valeur du travail n'est pas nécessairement positive. Le chômage, la privation du travail, est vécu comme une aliénation, une privation de liberté et une atteinte à notre dignité. [...]
[...] Le travail a une valeur humaine incontournable. Il permet à l'individu de satisfaire ses besoins, quotidiens et vitaux. Le travail consiste à produire des biens qui vont assurer leur subsistance comme se nourrir et se vêtir. Il consiste donc à faire produire à la nature plus que ce qu'elle produit à elle seule. L'Homme, de par son travail, va donc transformer la nature, la faire évoluer. Par exemple, le vent, naturellement, va seulement souffler sur notre planète, or, grâce au travail de l'Homme, nous transformons ce vent en énergie à l'aide d'éoliennes crées par l'Homme. [...]
[...] D'où la nécessité de coopération des Hommes dans le travail. Une spécialisation dans un domaine pour chaque individu est donc inévitable, en vue d'une démultiplication des forces. Diviser pour mieux régner. Nous avons donc vu que le travail contribue à créer, façonner un tissu social, par l'organisation d'une répartition des tâches et une formation des métiers. Cette division des tâches permet de produire plus de biens afin de les mettre en commun. Cependant, ce but de travailler pour produire d'avantages de biens peut amener à percevoir le travail comme une contrainte et peut même aller jusqu'à l'épuisement de l'individu. [...]
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