Pour l'homme l'ultime questionnement qui persiste est celui du bien et du mal. En effet, il est parfois difficile de trouver la limite juste et correcte entre le bien et le mal. Tout d'abord parce que même si cette notion est globale, elle diffère selon les individus. Ainsi, on en vient à se demander si faire le bonheur d'autrui est un devoir que nous impose notre perpétuelle quête du bien. Le bonheur est le fait que l'individu se sente pleinement épanouit, sans aucune tension et sans aucune pensée négatives. Le bonheur pour tout individu est cette sensation de béatitude qui le remplit sans qu'il ne s'y attende. Le bonheur est donc une notion, un sentiment et une sensation accessible à tous d'une façon ou d'une autre. Il est donc dans l'intérêt de tous de contribuer chacun au bonheur des autres.
[...] Deuxièmement, l'action est faite par devoir j'ai le devoir de faire le bonheur d'autrui uniquement si mon intention est bonne. On a vu que faire le bonheur d'autrui c'était tout d'abord une obligation , que l'on se devait que l'on soit d'accord ou non de faire son bonheur, or là, le devoir est plutôt d'ordre symbolique comme le devoir du citoyen qui doit aller voter. Il ne sera pas sanctionner, ni radié de la nationalité française s'il n'a pas été voté mais cependant c'est une action qui doit accomplir. [...]
[...] Enfin, je me dois de faire le bonheur d'autrui mais comment arriver à ce résultat si je ne sais pas en quoi consiste le bonheur d'autrui. En effet le bonheur est une notion subjective et qui diffère selon les individus, selon les moments de la vie de chacun mais aussi en fonction du bonheur qu'il a déjà connu. Beaucoup de critères différents sont mis en avant pour le bonheur et de cette façon on peut dire que le bonheur n'est pas universel. [...]
[...] Ai-je le devoir de décider ou de faire le bonheur d'autrui ou bien ne doit-il pas rester une recherche individuelle ? Dans un premier temps nous verrons que c'est une obligation morale de contribuer au bonheur d'autrui, dans un second temps nous verrons que le devoir ne nous permet pas toujours l'accès au bonheur et que l'homme est bien souvent impuissant face au bonheur d'autrui et enfin dans un dernier temps, nous verrons que l'homme doit et a besoin des autres pour atteindre son propre bonheur. [...]
[...] Dois-je faire le bonheur d'autrui ? Pour l'homme l'ultime questionnement qui persiste est celui du bien et du mal. En effet, il est parfois difficile de trouver la limite juste et correcte entre le bien et le mal. Tout d'abord parce que même si cette notion est globale, elle diffère selon les individus. Ainsi, on en vient à se demander si faire le bonheur d'autrui est un devoir que nous impose notre perpétuelle quête du bien. Le bonheur est le fait que l'individu se sente pleinement épanouit, sans aucune tension et sans aucune pensée négatives. [...]
[...] En effet nous allons voir que le devoir ne peut pas guider l'accession au bonheur d'autrui. Tout d'abord, malgré un devoir certain et présent de faire le bonheur d'autrui, l'homme est souvent dominé par des intérêts égoïstes qui priment sur l'intérêt général. On peut reprendre là aussi l'exemple de la politique : nous avons à faire à un couple, la femme aime la politique et se sent très impliquée, or son époux lui ne comprend pas bine l'intérêt de donner son droit de parole à une personne qu'il ne connait pas, il y a les élections du maire de leur ville et l'époux préfère passer sa journée à se prélasser dans le canapé à regarder la télé plutôt que de prendre un peu de son temps pour aller voter et ainsi faire plaisir à sa femme. [...]
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