liberté, philosophie, attacher, attachement, perdre, terminale
L'homme a besoin de se sentir libre, ce sentiment le rend fort et plus sûr de lui. Il a aussi besoin de s'attacher: s'attacher aux lieux et objets emblématiques d'une période de sa vie, aux personnes proches et aimées... Ces deux besoins ne semblent toute fois pas compatibles.
Nous en venons donc à nous demander si l'attachement requiert de renoncer à une part de sa liberté. On se demandera ensuite si par certains aspect, l'attachement permet d'affirmer, de renforcer notre liberté. Enfin nous nous questionnerons afin de savoir comment concilier au mieux ces deux besoins.
"Être privé du pouvoir d'agir sans contrainte, est-ce une condition nécessaire à l'attachement et est-il possible de concilier attachement et liberté ?
[...] Il ne faut donc pas chercher à s'attacher de manière forcée mais laisser les prémices de l'attachement se créer d'eux mêmes. Nous avons donc montrer que s'attacher n'est pas forcément synonyme de perdre sa liberté. En ce sens s'attacher permet par certains points d'augmenter sa puissance d'agir et ainsi d'avoir une sensation de liberté plus grande mais il est vrai que s'attacher créer des contraintes quant à l'objet de l'attachement. La manière manière de concilier les liberté et attachement est donc d'être raisonnable et de ne pas s'attacher trop vite. [...]
[...] S'attacher est-ce perdre de sa liberté ? L'homme a besoin de se sentir libre, ce sentiment le rend fort et plus sûr de lui. Il a aussi besoin de s'attacher: s'attacher aux lieux et objets emblématiques d'une période de sa vie, aux personnes proches et aimées . Ces deux besoins ne semblent toute fois pas compatibles. Nous en venons donc à nous demander si l'attachement requiert de renoncer à une part de sa liberté. On se demandera ensuite si par certains aspect, l'attachement permet d'affirmer, de renforcer notre liberté. [...]
[...] Hors la puissance d'agir reflète la sensation de liberté donc on en conclut que s'attacher augmente cette même sensation De plus s'attacher permet de garder des “points d'ancrages” et des repères qui nous permettent d'augmenter notre puissance d'agir et de nous affranchir de certaines contraintes. Connaissant ce à quoi nous sommes le plus attaché permet d'apprendre beaucoup sur soi. On peut se dire que pour avoir une liberté beaucoup plus grande, il suffirait de renoncer à tout type d'affection. Mener une vie en solitaire de manière marginale permet de ressentir un sentiment de liberté totale. Mais est-ce que cela permet réellement notre bonheur ? [...]
[...] Comment expliquer que l'on puisse perdre une part de sa liberté ? On remarque que s'attacher c'est créer un engagement moral qui implique un devoir moral. Ainsi lorsqu'on est attaché à une personne, on n'agit pas n'importe comment, on est ammené à faire des concessions, à faire passer l'objet de notre attachement avant le reste dans l'ordre de nos priorités. Des contraintes apparaissent, nous rendant ainsi un peu moins libre. De plus s'attacher implique aussi de renoncer à tous ce qu'on aurait pu connaître et vivre si on ne s'était pas attaché. [...]
[...] L'attachement est un acte volontaire qui provoque le sentiment de bonheur. En effet l'homme a le temps de réagir à l'attachement donc on peut considérer que s'attacher est un acte volontaire. Hors la liberté de l'homme lui permet de rechercher le bonheur. Comme on l'a montré, l'attachement créer un sentiment de dépendance mais toute dépendance produit de la joie et du bonheur lorsque l'on est en présence de l'objet de la dépendance. Hors la joie augmente notre puissance d'agir. Les personnes auxquelles nous sommes attachés ( nos parents, nos amis . [...]
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