À l'aube du XXIe siècle, la société humaine est à l'échelle mondiale gouvernée par les pays riches qui par leurs multinationales font si j'ose dire, la pluie et le beau temps planétaire. Ainsi, l'argent va, d'un bout à l'autre du monde, parfois par des marchandises et parfois seulement par spéculation.
Les capitaux et des sommes passent les frontières pour atterrir dans la poche de quelques hommes, qui bien souvent les dépensent à leur tour.
Cette autoroute de la monnaie obsède les esprits et définit l'unique but de l'homme : s'enrichir. Nous nous demanderons dans le cadre de ce travail si l'argent fait le bonheur, et quelle place nous devrions lui accorder dans nos existences pour être heureux.
[...] Quelques idées sur l'argent L'argent fut à l'origine créé pour mesurer un travail et pour les échanges. D'origine, les biens étant peu variés, l'argent avait un rôle moindre. Mais dès l'antiquité, il s'est avéré plus important et est devenu source de convoitise et de corruption pour l'homme. À l'aube du 21e siècle, la société humaine est à l'échelle mondiale gouvernée par les pays riches qui par leurs multinationales font si j'ose dire, la pluie et le beau temps planétaire. Ainsi l'argent va, d'un bout à l'autre du monde, parfois par des marchandises et parfois seulement par spéculation. [...]
[...] De plus en plus arrivent de nouvelles idées de gestion de l'économie, de distribution des richesses, puisqu'il semblerait que le libéralisme soit loin d'être le système idéal. L'étude de ce mode de pensée remet en question plus d'un siècle de l'histoire de notre économie, aussi est-il difficile d'en imaginer un autre. Pourtant, est-ce véritablement le système économique qui doit changer ou serait-ce plutôt son application, l'homme en lui-même ? La satisfaction est par définition le fait de ne plus avoir aucun besoin. [...]
[...] Ce qui confirme ce qui est dit au-dessus. L'homme, par cette envie de l'argent peut s'en retrouver déshumanisé. Tout d'abord à l'échelle mondiale, entre les pays : certains sont riches et d'autres bien plus pauvres. Les pays riches, bien souvent, se servent de la pauvreté des autres pays. On pourrait croire que la raison de leur succès et l'échec des pays voisins. Ainsi, il est souvent soupçonné que les gouvernements des pays du Nord s'arrangent pour appauvrir et déclencher des guerres dans les pays du Sud. [...]
[...] Mais il a l'avantage d'être désiré par beaucoup d'hommes, qui même lorsqu'ils en possèdent déjà suffisamment, dans leur soif en souhaitent encore plus. Le centre de leurs désirs étant donc la possession, ils vont en oublier le véritable objet de leur quête : le bonheur. Bernard Grasset, dans son ouvrage Remarques sur le bonheur écrit Ce n'est pas à la possession des biens qu'est attaché le bonheur, mais à la faculté d'en jouir. Le bonheur n'est qu'une aptitude. L'achat d'un objet peut procurer un bonheur éphémère. Mais l'aisance matérielle peut être source de satisfaction. [...]
[...] Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler.» Contrairement à l'opinion générale de cette époque, le philosophe Adam Smith dans la richesse des nations affirme donc que le libre arbitre ne conduit pas au chaos, mais bien à l'ordre. Le libéralisme s'autorégule aussi par le simple fait, que le bien des autres peut faire notre bien à nous. Dans L'argent d'Émile Zola, Aristide Saccard tente d'amasser une somme phénoménale d'argent grâce à son entreprise. [...]
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