L'idée directrice de ce texte d'Alain est la démocratie, c'est-à-dire que le pouvoir appartient aux citoyens.
Je pense que la démocratie est l'idée directrice car il y a beaucoup de mots qui se réfère à ce dernier : "résistance", "obéissance", "ordre", "liberté", "citoyen".
De plus, les deux opposés de la démocratie sont cités : "tyrannie" et "anarchie". La démocratie est le juste milieu entre ces deux derniers, car l'anarchie nous montre une société sans autorité, ni pouvoir, alors que la tyrannie s'explique par un pouvoir absolu et abusif d'une seule personne (...)
[...] L'auteur de ce texte veut démontrer que l'ordre et la liberté sont inséparables. En effet, par plusieurs exemples, Alain nous fait comprendre qu'en enlevant l'ordre, la situation de la société change et devient alors anarchique. Au contraire, en supprimant la liberté, les citoyens feront partis d'une société sous un pouvoir tyrannique. Les étapes de l'argumentation de ce texte : L'auteur démontre sa thèse de la façon suivante : - Dans une première partie, de la ligne 1 à la ligne l'auteur montre que l'ordre et la liberté sont indissociables. [...]
[...] Pour répondre à la question posée, dans un premier temps nous répondrons positivement en donnant les arguments pour puis dans un second temps nous répondrons négativement en donnant les arguments contre Ce n'est pas parce que l'Homme obéit qu'il n'est pas libre, et ce n'est pas obligatoirement parce que l'Homme résiste qu'il est libre. Alors on ne peut pas vraiment dire que la résistance et l'obéissance sont les deux qualités du citoyen. De plus, certains peuvent disposer de la résistance, sans l'obéissance, ou à l'inverse, alors nous ne pouvons pas faire une généralité sachant que nos comportements sont différents, ainsi que nos manières de pensées. [...]
[...] L'auteur dit dans cette phrase que l'anarchie n'obéit pas, ce régime est libre, et la tyrannie n'admet aucune opposition, elle est totalitaire. De plus, en disant cette phrase, l'auteur veut faire comprendre aux lecteurs que sans obéissance, les citoyens vivraient dans une société au pouvoir anarchique, et au contraire, sans la résistance, la société serait tyrannique. Diriez vous aussi que résistance et obéissance sont les deux vertus du citoyen ? Aujourd'hui, de plus en plus, notre liberté est restreinte et en danger. [...]
[...] Puis, l'auteur s'exprime clairement en disant que sans obéissance, les citoyens vivraient dans une société au pouvoir anarchique, et au contraire, sans la résistance, la société s'exécuterait sous un pouvoir tyrannique (lignes 1 à 2). Ensuite, Alain développe son idée (la tyrannie et l'anarchie s'impliquent mutuellement) en envisageant par deux exemples le retour des conséquences de chacun de ces régimes politiques (lignes 11 à 14). Par un de ces exemples, c'est-à-dire que la tyrannie qui utilise la force contre les opinions, en retour, ces derniers emploient la force contre la tyrannie. [...]
[...] Il commence par citer, selon lui, les deux vertus du citoyen, résistance et obéissance (ligne puis exprime que le citoyen qui obéit assure l'ordre, et que celui qui résiste assure la liberté (ligne 2). Ensuite, il affirme sa thèse l'ordre et la liberté ne sont point séparables (ligne puis s'explique par un exemple le jeu des forces ( ) n'enferme aucune liberté (ligne 4). Puis, il fait une comparaison avec la vie animale». Cela nous fait comprendre qu'Alain pense que l'Homme et l'animal ont, entre autre, comme point commun, l'agressivité. [...]
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