Opposer à la loi, anomie, vie en société, droit de grève, s'opposer à soi-même
Notre société est régie par des lois qui sont primordiales dans notre société. Sans cela, l'anomie régnerait sur elle.
L'homme étant en point au désir, cela permet que les crimes soient punis. C'est cette loi qui nous dit ce qu'on peut faire ou non. Mais peut-on s'y opposer, on a-t-on le droit ?
[...] Un individu sera capable de violer et de s'opposer à la loi, par les seules choses qui sont plus fortes qu'elle, c'est-à-dire ses vertus, ses principes ; qui sont les bases de la loi en elle-même. Un individu s'opposera à la loi que si elle est corrompu est ne marche plus dans le sens dont elle à été conçu, c'est-à-dire, respecter les règles, principes et vertus de la majorité. Cependant, dans un second temps il n'est pas possible de s'opposer à la loi, car ce serait s'opposer à soit même. En effet la loi nous représente par le biais de nos élus. [...]
[...] Et c'est le droit lui-même qui nous donne le droit de s'opposer à lui-même. En conclusion, nous pouvons nous opposer à la loi, par le biais des grèves, ou de la jurisprudence, il est toujours possible de faire valoir ses droits, d'adapter les lois en fonctions des situations présentes. Cependant ses droits nous sont donnés par la loi qui nous l'autorise. Ces lois faites par nos représentants que nous avons-nous même choisis. Donc, au final, nous ne pouvons nous y opposer, la loi finira par prendre le dessus malgré ce que l'on peut faire, car ce que nous pouvons faire, nous le tenons de nos lois. [...]
[...] Car dans le contrat sociale, Rousseau ce demande dans quelle conditions un état est légitime. Il se demande si la force peut fonder le droit. Et il répond que non. La force est toujours illégitime. Elle n'est que pur violence et ne peut donc pas former le droit. Or, une anarchie est basée sur la loi du plus fort. Le plus fort sais très bien que sa force n'est pas éternelle, et qu'il y aura toujours un plus fort que lui qui le renversera. [...]
[...] Et c'est le droit lui-même qui nous donne le droit de s'opposer à lui-même. Ensuite, il y a le cas de la jurisprudence. En effet, lors d'un jugement, si un juge trouve une loi inadaptée, qui n'est plus à jour, il peut décider de passer dessus. Par la suite, le parlement pourra décider de la modifier ou de la supprimer. Cela à été notamment le cas pour la loi sur les jeans. Les filles, jusqu'à il y a trois ans, ne pouvaient pas porter de jeans car la loi l'interdisait. [...]
[...] A-t-on le droit de s'opposer à la loi ? Notre société est régie par des lois qui sont primordiales dans notre société. Sans cela, l'anomie régnerait sur elle. L'homme étant en point au désir, cela permet que les crimes soient punis. C'est cette loi qui nous dit ce qu'on peut faire ou non. Mais peut-on s'y opposer, on a-t-on le droit ? -Définition d'anomie : rejet sociale, perturbation et dégradation des normes assurant l'ordre de la société. -Définition de la loi : La loi au sens scientifique qui relève du domaine de la nature et à laquelle on ne saurait désobéir puisqu'elle définit entre des phénomènes une relation universelle et constante qu'il n'est pas possible de transgresser. [...]
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