Grâce à cette conscience qui peut élaborer des représentations de ce qui lui arrive et en conserver aussi la trace mentale, ns pouvons passer d'une simple sensation de soi à une connaissance de notre moi = l'explicitation de ce qui constitue notre singularité, qui ns différencie de tous les autres, notre unicité (...)
[...] > Hume constate qu'il n'existe aucune impressions qui présente les caractéristiques que l'on attribue au moi = une sensation est toujours changeante, provisoire, multiple. > Lorsque nous pensons à nous même nous trouvons toujours le moi lié à une impression particulière, sans avoir la possibilité d'isoler une sensation ( du moi tout seul ) qui ne soit accompagné d'aucune autre sensation. > Pendant le sommeil, nous avons plus la conscience d'aucune perception et nous avons plus non plus de conscience de nous même = ce qui prouve que le moi tout seul n'existe pas. [...]
[...] Critique de la notion de réflexion > De la réflexivité, ce sujet se prend comme objet de connaissance pour avoie une connaissance il faut deux termes, un sujet et un objet pour qu'il y ai une distance entre les deux. > Le problème de la connaissance de soi, c'est que le moi est à la fois le sujet et l'objet de la connaissance ( je me connais > Jamais je ne peux avoir de la distance avec moi même : je ne peux me poser réellement comme un objet de connaissance. [...]
[...] > Cette connaissance nécessite d'utiliser toutes les qualités réunis sous le nom de conscience. > L'H ne se contente pas d'exister, mais il existe en sachant qu'il existe, ce qui lui permet d'accéder à des niveaux d'existences plus complexes et plus riches ! 1. Les différentes formes de conscience La connaissance de soi > La conscience de soi désigne une sensation instantané de soi = une évidence d'être la en permanence par laquelle je sais que je suis moi et pas quelqu'un d'autre, une sensation aux 2 eme degrés qui accompagne tt ce que je dis, fais et désir etc . [...]
[...] > Selon Borgson, la condition de la conscience de soi est la mémoire : H. est soumis à la nécessité du tps : Il ne peut pas s'extraire du tps, le suspendre, l'accélérer, le ralentir : il est condamné à vivre selon l'écoulement du tps, qui a son rythme propre. Le signe de cette soumission au tps c'est le fait que nous soyons sans cesse en train de ns transformer, le tps les arrache en permanence à ns mm. > Cette mutation permanente de soi ne peut pas être intégrale à chaque instant, sans quoi on ne pourrait pas se reconnaître, mm pas dire ; Je change > Ovide : mon identité persiste malgré tous les changements qui l'affectent. [...]
[...] > Ce que nous percevons en nous c'est un faisceau d'impressions sensibles qui se succèdent rapidement en nous. > Nous percevons aussi le moi est toujours engagé dans un contexte, une configuration sensible, unique et individuelle dans lequel le moi se définit à chaque fois. > Ce qui caractérise le moi, c'est plutôt la multiplicité, la complexité, la discontinuité = Le moi n'est pas une entité, c'est un processus permanent qu'on peut totaliser. > L'esprit est une sorte de théâtre : une scène : un lien de passage pour des impressions qui se succèdent mais nous ne savons pas où est cette scène mentale ni les différents matériaux qui constituent ce flux de perception. [...]
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