Société, sociabilité, violence, lien social, groupe, groupements
Une société est caractérisée par le lien social. Dans une société, il y a différents niveaux de regroupements. Dans ce groupement d'individus, il va y avoir d'autres groupements d'individus en fonction des idéaux, de la culture, de l'argent. Il y a la possibilité qu'à l'intérieur d'un grand groupe qui unit les individus qu'il y ait des groupes différents (la haute société : groupe société différent dans le grand groupe). De fait, dans une société, on pourrait aussi voir, soit en raison de l'éducation, soit en raison du pouvoir donné par l'argent, des clivages sociaux. Le principe est toujours : je me réunie avec ceux avec qui j'ai une affinité, quelle qu'elle soit.
[...] Machiavel considère que les Hommes sont mauvais : cela détermine une vision du politique. Si les Hommes sont mauvais, il est impossible de les gouverner en utilisant la bonté mais seulement en fonctionnant comme eux, en utilisant la méchanceté, la cruauté, le mensonge. César Borgia, qui était à la tête d'une principauté lorsque l'Italie n'était pas unifiée, dans laquelle le peuple s'est révolté ; il n'avait pas d'autres solutions que de ramener l'ordre. Pour cela, il a envoyé quelqu'un en lui donnant l'ordre de rétablir l'ordre. [...]
[...] Dans une société, on va mettre en œuvre tout ce qui irait dans le sens du dialogue pour freiner ce qui irait dans le sens de l'intérêt particulier et de la violence pour le satisfaire (voir la violence). Un autre monde est-il possible ? Les Hommes sont-ils condamner à habiter un monde où le droit du plus fort et le fanatisme l'emportent sur la justice et la tolérance ? Les Hommes sont-ils condamner à vivre dans un monde où les richesses sont tellement déséquilibrées que la violence et la guerre paraissent inévitables ? [...]
[...] Aristote dit : l'Homme est un animal politique fait pour vivre en société Lorsque l'on considère que la société est d'origine naturelle, c'est que plus ou moins on pense que l'Homme est bon. C'est ce que pensent les anarchistes. Plutôt que de penser qu'il y a un élan naturel de l'Homme vers l'autre (qui existe : par exemple, dès son plus jeune âge le bébé pleure parce qu'il veut sa mère). Résumer l'Homme à cet élan vers l'autre serait ignorer l'élan contraire qui le pousse à s'opposer à l'autre. Kant a dit : l'insociable sociabilité : j'ai besoin de l'autre, qui pourtant m'insupporte. [...]
[...] Il y a eu des tas de livres écrits sur la conception d'un meilleur monde (utopie politique). D'une utopie on peut tirer des enseignements pour corriger ce qui existe déjà, montrer qu'il y a des alternatives. Les Hommes entendent tout comme si cela ne les concernaient pas. Est-ce vrai que l'on n'est pas concernait ? Si la guerre était impossible entre les individus, elle le serait aussi entre les États. Pour que la guerre ne puisse plus exister, il faudrait que les petites guerres entre individus n'existent plus. A mon échelle, je peux agir. [...]
[...] La société VI. La société : Une société est caractérisée par le lien social. Dans une société, il y a différents niveaux de regroupements. Dans ce groupement d'individus, il va y avoir d'autres groupements d'individus en fonction des idéaux, de la culture, de l'argent. Il y a la possibilité qu'à l'intérieur d'un grand groupe qui unit les individus qu'il y ait des groupes différents (la haute société : groupe société différent dans le grand groupe). De fait, dans une société, on pourrait aussi voir, soit en raison de l'éducation, soit en raison du pouvoir donné par l'argent, des clivages sociaux. [...]
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