[...]
Avant -509 Rome était constituée de gentes c'est-à-dire de familles larges dont les chefs détenaient le pouvoir.
La construction des institutions romaines résulta de la lutte entre patriciens (successeurs des gentes) et les plébéiens d'origine plus modeste.
Mi 4ème un partage des responsabilités est instauré (magistratures à égalité entre plébéiens et patriciens) excepté pour la plèbe chargée de défendre les intérêts des plébéiens. Elle obtient d'ailleurs mi 5ème une codification du droit pour échapper à l'arbitraire des magistrats patriciens : les XII tables au fondement du droit romain.
La citoyenneté romaine s'exerçait selon les principes de filiation, affranchissement ou décision politique.
La capacité de Rome d'intégrer par l'octroi la citoyenneté des populations ayant vécu un certain temps à son contact fut un élément majeur de sa longévité. La stabilité politique romaine reposait sur la cohésion du corps social.
La guerre devient pour certains uniquement une source d'enrichissement. De plus, certains militaires se servirent de leur gloire pour accéder à des fonctions politiques ce qui entraîna Rome dans la guerre civile.
L'attitude romaine vis-à-vis des dieux était marquée par la révérence : maintenir l'entente avec les dieux et faire attention à tous les signes divins qui marquent l'adhésion ou l'hostilité des dieux. Cependant l'utilisation et la manipulation de la religion dans la vie politique (César qui utilisa sa charge de Grand Pontife) fut source d'une grave crise morale.
Remarque : La conception de la vie civique en France après 1789 (particulièrement sous la 3ème République) est fortement influencée par la vision romaine du citoyen, qui fait vivre la République par son droit de suffrage et la défend en portant les armes. Il en est de même de sa conception ouverte de la citoyenneté qui, à l'inverse d'Athènes ne reposait pas sur le droit du sang mais au contraire pouvait accueillir les étrangers si Rome les considéraient dignes d'entrer dans le peuple romain.
L'Empire romain
Rome a conquis des territoires urbanisés. Dans ces villes l'aspiration à la nationalité romaine se faisait en raison des avantages qu'elle procurait.
Les crises de l'Empire survirent au 3ème siècle avec la poussée germanique à l'Est, les troubles intérieurs (règnes courts), épidémies, nécessité d'un impôt nouveau (problèmes de financement)
Ce que Rome laisse : l'idée de droit et l'idée et le sens de l'État (...)
[...] Chez ces deux auteurs le lyrisme s'exprime par des poèmes d'amour Arts Architecture et Portrait L'art dans lequel s'illustreront le plus particulièrement les Romains fut celui de l'architecture. Cette architecture ne fut pas sacrée comme chez les Grecs (Acropole) mais soit une architecture de propagande en faveur de Rome soit une architecture utilitaire et d'agréments pour le confort des Romains. L'architecture romaine reprend l'usage de la coupole aux Etrusques et invente l'usage de briques cuites mélangées au béton. De plus les architectes romains sont désinvoltes vis-à-vis de leurs aînés grecs (pas de complexe d'infériorité dans ce domaine contrairement à la langue) comme l'atteste le mélange des modèles ionique, dorique et corinthien. [...]
[...] Les crises de l'Empire survirent au 3ème siècle avec la poussée germanique à l'Est, les troubles intérieurs (règnes courts), épidémies, nécessité d'un impôt nouveau (problèmes de financement) Ce que Rome laisse : l'idée de droit et l'idée et le sens de l'État Religions Les dieux romains La religion grecque occupe une place centrale (cf noms des dieux) dans la religion romaine tout comme certaines vieilles croyances indigènes. Cette dernière est une institution d'état de tradition nationale. Elle divinise certains lieux, objets, personnes Les divinités protégeant la famille sont particulièrement importantes. De plus la religion intervenait dans les décisions politiques ce qui conduisit à une certaine superstition. [...]
[...] Cependant, un serpent vient tenter la femme qui cède et s'oppose au commandement divin. Elle incite aussi l'homme à goûter du fruit de la tentation. Yahvé se déplace dans le jardin et appelle les hommes qu'il ne trouve pas. Ces derniers lui avouent qu'ils ont honte de leur nudité et c'est pour cela qu'ils se cachent. Alors, Yahvé se rend compte que l'homme et la femme lui ont désobéit. Ainsi, il énonce plusieurs punitions. La femme devra enfanter dans la douleur et l'homme devra quant à lui gagner son pain à la sueur de son front. [...]
[...] L'architecture utilitaire est principalement axée autour des thermes, l'architecture des théâtres (cf l'Odéon qui est le premier théâtre couvert) ainsi que l'invention de l'amphithéâtre. Apport romain : le buste Le portrait représente généralement des empereurs mais parfois aussi les membres des grandes familles patriciennes (voulu par le culte des ancêtres dans les grandes familles) Sous la République le portrait se veut réaliste, sous Auguste il est davantage idéalisé. Selon Malraux : il n'existe pas d'art romain Sciences Pline et l'histoire naturelle Dans Histoire naturelle il englobe tous les domaines de la connaissance de la nature (botanique, médecine, astronomie, géographie ) L'intérêt de cette œuvre de compilation est que la nature est décrite qu'en tant qu'elle intéresse l'homme et peut lui être utile. [...]
[...] Si Dieu a créé l'homme à son image c'est avant tout pour sa liberté. L'alliance primordiale qui liait l'homme à Dieu avant le péché originel n'était pas librement contractée, c'est-à-dire que l'homme n'en a tout simplement pas eu le choix. En donnant la liberté à l'homme et en lui permettant de pécher, Dieu rend possible toute alliance voulue par l'homme avec Dieu. Ainsi, depuis le péché originel, toute alliance est librement voulue par l'homme et elle a donc une signification. Pour prouver sa liberté l'homme a du braver un interdit divin. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture