contrat social, Pierre Clastres, La Société contre l'Etat, Hannah Arendt, London, Imperium, société anarchiste, Etat moderne, Catherine Audard, Qu'est-ce que le libéralisme, Hobbes, état de nature, Léviathan, Hutcheson, John Locke, proto-libéralisme, libéralisme, Bakounine, républicanisme, Rousseau
Le chef possède une autorité et non un pouvoir (n'implique pas la violence). Il est à distance du jeu social (marginalité), ce qui lui permet d'être impartial.
Il tire cette supériorité du fait qu'il est le gardien des traditions. Il y a une hiérarchie sans domination car les décisions sont prises de manière commune (horizontale). Le chef domine seulement en temps de guerre. Il est le seul à être polygame.
(...)
La seule source de légitimité des institutions peut venir du consensus, consentement : par le contrat = accord volontaire, délibéré sur une base juridique.
Les hommes sont d'abord dans un état de nature (désordre, danger) qui a fait advenir le contrat social (nécessité, sécurité).
[...] Les lois naturelles correspondent à des lois divines. Elles ne sont pas instituées par les hommes (qui les reconnaissent). Notre souveraineté est limitée : l'homme est une créature de Dieu. Ainsi, le pouvoir ne peut avoir une liberté absolue. Nous n'avons pas de droit de vie et de mort sur nous et donc ne pouvons transposer ce supposé droit au pouvoir politique. Droits fondamentaux : naturels - Liberté - Vie conservée : sécurité - Propriété : découle des 2 premiers droits Hobbes) Ces droits naturels sont appelés propriétés par Locke. [...]
[...] Gauchet, La condition politique] : « l'Etat au miroir de la raison d'Etat » - 1572 : St Barthélémy - 1594 : sacre d'Henri se convertit au catholicisme pour être roi (la religion est désormais un instrument au service du politique) « l'Etat est le concept en lequel se condense et culmine la nouveauté téléogicopolitique du XVI° siècle » - Sacralisation des institutions politiques « les deux corps du le roi est mort, vive le roi ! = la figure du roi ne se résume pas à la personne Cours Les théories du « contrat social » Introduction : Fondement de la légitimité des institutions politiques ? La seule source de légitimité des institutions peut venir du consensus, consentement : par le contrat = accord volontaire, délibéré sur une base juridique. [...]
[...] Ce n'est donc pas un pouvoir totalitaire : pas d'emprise totale sur les individus. Il y a une liberté de conscience garantie par l'Etat liberté de pensée). Il est préférable pour l'Etat que les individus aient des croyances religieuses car la religion fait aimer obéir = plus enclin à se soumettre à l'autorité des lois. La religion cultive donc ce besoin d'obéir. L'Etat se soucie des dogmes religieux dès lors qu'ils ont une implication morale et éthique et qu'ils modifient les relations entre les individus. [...]
[...] Cela permet de garantir son efficacité dans la poursuite de la sécurité et de la propriété du peuple. Il envisage également une concentration des pouvoirs. La séparation des pouvoirs fait face à des limites. Hobbes favorise la monarchie : représentation plus facile (éviter les rivalités) nom de tyrannie ne signifie rien de plus ni rien de moins que celui de souveraineté » Lois et unités Il n'y a pas de justice en dehors de la volonté du souverain. Le souverain ne peut pas être hors la loi. Toutes ses actions sont nécessairement légitimes. [...]
[...] Le contrat et l'émergence du Léviathan Léviathan = monstre biblique (maritime) - Pouvoir est capable d'enserrer la société par ses multiples tentacules - Dirige par la peur : il utilise la crainte des autres pour la diriger vers lui Chap XVII : crainte de la mort Renoncement au droit naturel qui doit être total, simultané et unanime pour instaurer l'Etat au profit du souverain. La multitude fait alors peuple. Le peuple n'est rien sans le souverain Rousseau : unité du peuple est immanente). [...]
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