Philosophie morale, philosophie politique, liberté, Saint Augustin, théorie de la connaissance, liberté de Dieu, mal, prescience, souffrance, Descartes, grecs, Erasme, traité du libre arbitre, religion, Louis de Molina
Saint Augustin pense une hiérarchie entre les êtres avec une différence infinie entre les êtres spirituels et les êtres matériels.
La conception du monde des chrétiens est différente de celle des Grecs, car les premiers pensent que le monde est créé et les seconds pensent qu'il est éternel.
Dans le cadre de sa théorie de la connaissance, le spirituel ne peut pas s'expliquer par la matière.
Même dans le cas de la sensation, Saint Augustin soutient que c'est l'âme qui se rend attentive à ce qu'elle possède en elle-même.
Cette conception est inspirée du souvenir platonicien.
[...] Le mal St Augustin pense que le mal physique est facilement conciliable avec la providence car il contribue à la beauté de l'ensemble . Tout cela est compliqué pour la souffrance animale qui conduira Descartes à soutenir que les animaux sont des machines et donc ne souffrent pas . La douleur est le fait de lutter contre la désintégration de son corps . Celui-ci invoque la souffrance des animaux qui est la difficulté à l'origine de la thèse des animaux machine. [...]
[...] La liberté I . La théorie de la connaissance Saint Augustin pense une hiérarchie entre les êtres avec une différence infinie entre les êtres spirituels et les êtres matériels . La conception du monde des chrétiens est différente de celle des Grecs car les premiers pensent que le monde est créé et les seconds pensent qu'il est éternel . Dans le cadre de sa théorie de la connaissance , le spirituel ne peut pas s'expliquer par la matière . Même dans le cas de la sensation , Saint Augustin soutient que c'est l'âme qui se rend attentive à ce qu'elle possède en elle-même . [...]
[...] Si les Jésuites admettent que la volonté possède une puissance sur le salut , ils ne peuvent pas de permettre de nier l'existence de la grâce divine et pour cela ils adhèrent à la théorie de la science de moyenne vision . Les opposants aux jésuites comme Leibniz vont qualifier cette position de semi-pélagiannisme . Dans son livre ''des Essais de théodicée écrit en Leibniz explique la position de Molina . Dans le troisième volume d'Augustinius écrit en Jansénius prétend d'expliquer la position d'Augustin sur la grâce . Ce livre donne naissance au mouvement janséniste qui s'oppose aux jésuites et plus particulièrement aux molinistes . [...]
[...] Celle-ci concerne le présent et le futur . La question de savoir pourquoi Dieu a créé le monde tel moment plutôt qu'un autre n'a pas de sens car il crée le temps mais n'est pas en lui . Dans les confessions , il commence une réflexion qui amène à considérer l'absurde de parler du passé , du présent et du futur en les remplaçant par du présent du passé , du présent du présent et du présent de l'avenir . [...]
[...] Il doit se contenter de faire le bien et avoir foi en le fait que Dieu justifie ses actions . Le concile de Trente est une réaction à la réforme protestante qui réaffirme le pouvoir de la liberté humaine sur le salut . Les Jésuites définissent la liberté par le pouvoir des contraires qui est l'indifférence . Cela veut dire que même si l'on a une forte inclination et que l'on ressent aucune indifférent quand on fait un choix , il reste quand même le fait que la possibilité de l'un ou l'autre des choix reste indifférente . [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture