Cours de philosophie sur la patrie. Références notamment du Contrat social de Rousseau, du Prince de Machiavel, de Kant, Spinoza, Bossuet, Constant, Pascal, Fichte...
[...] Couples d'hypothèses qui rendent la patrie mauvaise et dangereuse. Religion car fait objet d'une religiosité qui forme sa vertu rassemblant, pour qu'elle soit 1 principe d'unité politique. Elle peut être instrumentalisée (détournée et utilisée), utilisée à des fins de contrôle humain. La patrie reste un principe d'unité fondamentale. Mais alors un principe d'unité dans le mal. La patrie reste un principe d'unité politique mais comme étant au service du pouvoir, le pouvoir du gouvernement sur le souverain, au moment où le gouvernement cesse d'être l'émanation du souverain. [...]
[...] La patrie est un ordre particulier des intérêts collectifs, comme un domaine identifié des craintes et des espérances communes. L'existence de la patrie est la production rendue commune des intérêts particuliers des individus. La patrie rassemble les intérêts. La patrie puise sa source dans l'ordre des complexions personnelles, elle a un jeu dans son rôle particulier La source de patrie est donc fondamentalement individuelle, se trouve dans la complexion de chacune, dans les craintes et les espoirs que chacun exprime, et qui se rend commune à l'état civil. [...]
[...] Les écrits de Nietzsche ne sont pas antisémites. Nietzsche se revendique de Spinoza. L'idée que l'individu n'a de ressource et de sens que de faire vivre son conatus, chacun vit à la mesure des moyens qui lui ont été conféré et des ambitions que ces moyens lui offrent. Actualiser sa volonté. Revendication, une volonté de libérer l'homme, lui rendre un principe de vie, constitutif de son essence. Peuple comme principe vital. L'état manipule, ment et instrumentalise l'homme. L'état est calculateur, il utilise l'individu à ses fins. [...]
[...] C'est une sorte de contre pouvoir bis) Pascal 1623-1662 Génie précoce Les pensées Mort à 39 ans avant de finir son œuvre. Chaque loi vaut pour un pays, pas forcément pour un autre. Les h ont rendu les lois naturelles comme incompatible avec l'état origine de la justice. Bases de la justice = coutume pas de fondement. La justice et les lois sont étrangères à l'inconditionnel. Plaisante justice que rivière borne (pascal) que vaut une justice qui varie en fonction des limites géographique ou matérielles. [...]
[...] Gouverne le peuple. La doxa pousse le peuple à élire des personnes ou des idées, rend la gouvernance du peuple hasardeuse. Il n'a pas la compétence pour gouverner puisqu'il est lui même gouverné par la doxa. Le bras du peuple est faible, lorsqu'on confie le pouvoir au peuple, on court les risques que le pouvoir soit mal exercé et même exercé dans l'ordre du mal. Rien n'est excusable, aucun pouvoir politique ne peut se prévaloir d'une quelconque autorité si la ligne est franchie. [...]
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