Le cogito marque un moment précis et apparaît dans certaines conditions sur lesquelles on ne peut jamais faire l'impasse :
[...] le cogito Descartes : "cogito ergo sum" (je pense donc je suis) Le cogito marque un moment précis et apparaît dans certaines conditions sur lesquelles on ne peut jamais faire l'impasse : Descartes, au XVIIème siècle veut fonder la vérité dans les sciences. C'est à un moment charnière (Galilée, Copernic) durant lequel on abandonne la philosophie d'Aristote. La physique devient mathématique. Descartes s'aperçoit que depuis son enfance, il a admis des connaissances douteuses et ne sais pas lesquelles sont vraies ou non. Il met alors au point une méthode lui permettant de parvenir à une vérité : le doute. [...]
[...] Mais ces rêves n'intéressent pas la psychanalyse. Ses apports Ce qui a surtout modifié la psychanalyse c'est la conception du sujet humain du psychisme. La psychanalyse fait de l'Homme un être complexe qui est fait de tensions d'opposition : - Le surmoi : la morale de la société (mœurs les conventions sociales PRESSIONS - Le moi : la conscience claire (Qui suis-je? Que suis-je?) PRESSIONS - Le ça : l'ensemble des désirs, des préoccupations inconscientes, des souvenirs traumatisants (pulsions sexuelles : libido ; de mort ) Aux désirs naturels, innés, s'opposent les conventions de la société. [...]
[...] La conscience s'empare des objets selon différentes intentions et c'est bien la conscience qui crée l'objet. La femme du départ, décrite de manière neutre est déjà une intention. De la même façon, quand la conscience se retourne sur elle-même on parle de conscience de soi (le soi est construit) Expl : "Je me regarde dans le miroir" : deux rapports à soi (sujet et objet). Je est actif, il agit ; moi est passif et construit. On en arrive alors au problème de l'identité qui pose la question : Qui suis-je? [...]
[...] Cette analyse a deux intérêts : - une maxime est dictée par la raison. Tout homme possède la raison, alors tous connaissent la loi morale. Aussi cette maxime donne un critère pour juger des morales particulières. - nous avons une loi formelle qui peut s'appliquer à tous. [...]
[...] La conscience morale est alors la capacité à distinguer le bien du mal. relativité des morales Qu'est-ce que bien agir? Ce n'est pas agir efficacement mais agir selon le bien, selon son devoir. Il faut distinguer contrainte et obligation: - la contrainte est l'obligation de faire quelque chose à cause d'une force extérieure. - l'obligation, c'est s'obliger à faire quelque chose soi-même. Il n'y a alors d'obligation que sur fond de liberté, que pour les gens libres de s'obliger On détermine alors le Bien d'abord par apprentissage. [...]
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