Cours de Philosophie (niveau Lycée) consacré au bonheur.
[...] Le bonheur implique le problème morale, c'est-à-dire celui des fins de l'action de l'Homme. La fin suprême serait le bonheur. Ainsi, comment accéder à ce souverain bien ? La est toute la marche des eudémonistes : ce qui recherche la morale idéale à pratiquer pour être heureux. Le bonheur, est-ce assouvir ses désirs : Il en convient de définir tout d'abord le désir Le désir : Le désir est une tendance du sujet vers un objet, réel ou imaginé, une force qui le pousse à l'action. [...]
[...] Pour lui, Kant a le mérite d'avoir purifié la morale de tout eudémonisme ; mais sa loi est bien trop formelle. Jamais aucunes actions dans le monde, n'a jamais été réalisé par pur respect du devoir. Il critique le caractère irréalisable de l'impératif catégorique. La morale doit se fonder sur le sentiment. L'action n'est morale que si elle est désintéressée. L'absence de tout motif égoïstes, voila le critère de l'acte qui a une valeur morale Bergson critique Kant : je ne fais pas mon devoir par devoir, mais par habitude. [...]
[...] Je ne peux être heureux, que si je suis d'accord avec ce qui m'arrive : et cela pour 2 raisons : o Cela est bien pour moi : l'une parce que cela était fait pour toi o Si je me rebeller contre cet ordre, cela nuerai à l'équilibre du monde, à la bonne marche Selon Cléanthe : C'est un hymne à Zeus (ce dieu immanent transcendant). conduit moi Oh Zeus ! et toi destin ou vous avez fixé ou je devais me rendre, comme je vous suivrai sans hésiter, car si je résiste, quoique méchant, je ne vous suivrai pas moins Pour lui, rien ne sert de se rebeller, car de toute façon, ce qui devra arriver, arrivera. Aristote : Philosophe grec, Aristote critique les stoïciens. [...]
[...] L'épopée de Gilgamesh : C'est la plus vieille réflexion sur le bonheur : trouvée au 7ème s AV-JC. Mythe et histoire : C'est l'histoire de Gilgamesh qui est roi à qui rien ne lui résiste ; il est un tyran pour son peuple. Un jour, il rencontra le Géan Enkidu et deviennent les meilleurs amis. Or Enkidu meurt. Gilgamesh décide de partir en enfer pour le retrouver. Mais il entend c'est affreux ne vient pas Il décide alors à ne jamais mourir et c'est alors qu'il cherche une plante qui lui donnera éternité. [...]
[...] Philosophes qui ne croient en rien, doutent de tout. Texte Spinoza : Etiques, 3ème partie : L'ignorance des causes qui nous déterminent Il faut se méfier de sa conscience car celle-ci ce trompe en ignorant les causes qui nous détermine. Spinoza ne croit pas au libre arbitre mais au fatalisme : c'est-à-dire que les hommes ne sont pas maître d'eux même, seul Dieu est la cause. Pour Freud, il faut ce méfié de sa conscience, parce que l'inconscient agit sur elle. [...]
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