Philosophie, Histoire, philosophie antique, Aristote, corpus aristotélicien, philosophie analytique, philosophie contemporaine, philosophie politique, métaphysique, histoire de la philosophie, Hannah Arendt, Elisabeh Anskrug, Franz Berthanot, Paul Ricoeur, Martin Heidegger, Edmund Husserl, Rémi Brag, sagesse, sophisme, Topiques, Du ciel, nature, pensée, être humain, philosophie morale, bonheur, intellect, finalité, conscience de soi, genre humain
Le corpus aristotélicien a une grande histoire. Ainsi, Aristote est connu pour des oeuvres qui ont été perdues et qui nous sont donc inconnues. De son vivant et 2 siècles après sa mort, sa notoriété est due à des livres disparus. Les ouvrages d'Aristote sont souvent des notes de cours à ses étudiants transformés en ouvrage. Comment se fait-il que ce corpus aristotélicien ne fût pas connu à l'époque ?
[...] Ils traversent les genres. En effet, les axiomes portent sur l'être en tant qu'êtres. Ce sont des présupposés, mais justement c'est l'objet de la métaphysique. Les physiciens ont voulu, mais en fait, c'est au métaphysicien. En effet, la nature est un genre de l'être donc le métaphysicien tire sa légitimité du fait que tout l'être ne se réduit pas à la nature. Méta-physique = au-delà de la nature. Il existe des êtres au-delà de la nature. La physique n'est pas la science première même si c'est une forme de sagesse. [...]
[...] La vie de ce premier moteur est une vie philosophique. Le premier ciel est la 1[ère] réalité mue en mouvement. L'âme et l'homme L'homme est une transition entre les livres traitant de la science théorique et ceux portant sur la science pratique comme la morale ou la poïétique. L'homme est l'être capable des deux. Il est le sujet de la science théorique, mais aussi de la science pratique. On le trouve dans le Traité de l'âme. L'étude de l'âme appartiendrait à l'étude de la nature. [...]
[...] Le devenir serait alors une apparence. Comment concilier l'existence du devenir et son intelligibilité ? La traduction pour l'homme de l'intelligibilité du réel, c'est le savoir et donc la science. Texte 1 : Physique, I Il faut connaître des principes. La nature est une science comme une autre donc il faut en connaître les principes pour en avoir un savoir. La première étape consiste à dire qu'il y a une unanimité sur le fait que le changement applique des contraires. [...]
[...] La logique nous offre de raisonner sur ce qui normalement est le principe de tout raisonnement et qui normalement ne peut être raisonné. Il faut raisonner par des opinions probables. Cela permet donc de dire des choses vraies sur les sciences. Quel est le discours de la méthode qu'énonce Aristote pour surmonter les épreuves ? Pour Aristote, chercher la vérité, c'est rencontrer des problèmes et les résoudre. Mais il faut une méthode pour résoudre ces problèmes. Cette méthode comporterait 3 temps et c'est 3 métaphores. La formulation de cette méthode repose sur une triple métaphore. [...]
[...] Le droit étudie l'être en tant que normatif. L'économie l'étudie l'être en tant qu'être économique, baigné dans les échanges. « Elle ne se confond avec aucune des sciences dites particulières, car aucune de ces autres sciences ne considère en général l'être en tant qu'être, mais, découpant une certaine partie de l'être, c'est seulement de cette partie qu'elles étudient l'attribut : tel est le cas des sciences mathématiques. » La métaphysique est-elle une science, et quel est l'enjeu de cette unité ? [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture