Ernst Haeckel, Carl von Linné, Darwin, Haeckel, James Lovelock, écologie, histoire de l'écologie, voyage naturaliste, monde vivant, géobotanique, biologie, agriculture industrielle, capitalisme, nature, écosystème, anthropocentrisme
Penser un vivant, c'est le penser dans une biocénose, dans un biotope, et dans une histoire c'est-à-dire dans une évolution.
Le développement de la science écolo est indépendant de la crise écologique c'est-à-dire le déséquilibre des écosystèmes menant à leur destruction. Un scientifique voulait juste savoir ce qu'est un vivant. Et pourtant, c'est durant le XIXe siècle que l'on découvre les premiers signes de déséquilibre des écosystèmes. Au même moment où on voit les concepts pour voir les interdépendances que l'on voit que tout ce déséquilibre.
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L'homme ne donne plus à la nature la possibilité de se régénérer. À la fin du XIXe siècle, la chose est parfaitement documentée. Il faut donc ne pas croire que l'on ne savait pas et on veut donc faire quelque chose maintenant. La crise métabolique est donc bien documentée. Les premières mesures écologiques viennent dès le début du XXe siècle et la fin du XIXe siècle avec les premiers parcs naturels (Yellow Stone -1872) et les associations de défense.
[...] Si notre vie est cosmogonique cad que notre vie ne se joue pas à l'horizon individuel mais tjrs l'engendrement du monde. Cela étend le champ éthique. L'homme est un vivant comme les autres vivants mais il n'est pas comme les autres vivants. Comment la prise de conscience d'une communauté vivante peut se traduire d'un pdv éthique ? Deux auteurs : Aldo Leopold et arne naess Léopold : Il veut élargir la communauté éthique jusqu'à la communauté bioéthique. Comment intégrer les autres communautés dans les champs humains. [...]
[...] On a l'écologie qui est la science, l'éco philosophie qui est la réflexion philo et enfin l'écosophie sagesse normative. Il défend une écosophie ou il insiste sur la rationalisation de la population. L'écologie profonde est devenue une accusation alors même que non. [...]
[...] Il faut aussi penser le vivant avec son environnement : donc avec des corps inanimés (plastique, etc.). On parle de biotope. Penser un vivant, c'est le penser dans une biocénose, dans un biotope, et dans une histoire càd dans une évolution. Le développement de la science écolo est donc indépendant de la crise écologique càd déséquilibre des écosystèmes menant à leur destruction. Un scientifique voulait juste savoir ce qu'est un vivant. Et pourtant, c'est durant le XIXème siècle que l'on découvre les premiers signes de déséquilibre des écosystèmes. [...]
[...] Or l'hypothèse Gaia permet de dépasser cette contradiction et de montrer le foisonnement d'activité humaine et non humaine (végétale/animale/microscopique). Le propre d'un organisme est que l'on ne peut séparer le tout et les parties. Ces pièces se forment les unes avec les autres. Le super organisme qu'elles vont former se forment au fur et à mesure du temps. Avec l'écologie, on montre que les organismes se font mutuellement dans le temps les unes après les autres. Il n'y a donc pas de nature ni d'environnement. Le dans n'existe plus. Les vivants engendrent ensemble en permanence le monde. [...]
[...] La vie du blé est maintenue artificiellement : il ne peut plus faire ce qu'il faisait. C'est au moment où on a les outils scientifiques pour comprendre que les équilibres sont rompus et que la crise est manifeste. Karl Marx, qui aimait Liebig, reprend le concept de métabolisme et décrit ce qu'il appelle une « rupture irrémédiable dans le métabolisme déterminé par les lois de la vie ». Marx a repris l'exemple du métabolisme pour le travail. Le travail est l'activité par laquelle l'homme entre en interdépendance avec les autres (je cultive les autres ,ils nous cultivent). [...]
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