La nature désigne l'ensemble des êtres se laissant étudier par la science. La notion de nature renvoie nécessairement à celle de culture, des couples qui ne peuvent pas être séparés.
Rousseau : distingue l'homme de l'animal par sa perfectibilité (la faculté d'acquérir des facultés qui n'apparaissent pas initialement et spontanément en lui). L'homme est un être en devenir. L'animal est, il ne devient pas, mais l'homme n'est pas, il devient. L'humain n'est pas programmé de telle ou telle façon.
[...] Hors la mémoire et fragile et peu se perdre. Ex : age ou maladie peu faire perdre tout ce qu'il a acquis, l'imbécilité c'est pas un destin mais un risque. C'est valable aussi au collectif. Ex : faire des vitros on ne sait plus faire. L'animal lui ne peux pas acquérir mais pas perdre. L'idée de perfectibilité est ambiguë. Il distingue perfectibilité et progrès. Le prgrès suppose de comparer 2 situations (état d'arriver > état de départ) mais il implique un jugement de valeur. [...]
[...] Ethnocentrisme : tendance qui consiste à porter des jugements de valeurs sur des pratiques culturelles différents des notres en fonction d'un système de valeur implicitement considéré comme le meilleur. Confondre sa propre culture avec LA culture et donc rejeter les hommes qui on d'autres cultures. On peu considérer que certaines pratiques culturelles contredisent des valeurs universlles de la raison. Ex : la liberté, l'égalité en droit de tout les hommes. Les cultures serait également dignes dès lors qu'elles respectent ces valeurs universlles. [...]
[...] Il ne s'arrache pas à la nature pour la culture. Ce qui caractérise l'homme est l'ambiguité de ces conduites. Contrairement aux animaux, ces conduites n'ont pas une seule interpretation possible. La culture dénature-t-elle l'homme ? Selon Aristote, l'homme est un animal : politique, par nature l'homme est fait pour vivre en cité La cité est naturelle pour l'homme, l'homme tend par nature à vivre en communauté. L'homme est inachevé, innacompli et c'est la cité qui lui permet de s'accomplir, realiser sa nature. [...]
[...] Les passions suppose la realtion avec autrui. Les hommes se comparent entre eux. Les inégalités s'accroisent. De plus, dans l'ordre civil, la division du travail enchaine les hommes uns aux autres et donc y perdent cette indépendance. l'amour de soi se dégrade en amour propre l'amour de soi dans le regard de l'autre). On a plus son centre de gravité en soi mais dans le regard des autres. Conclusion vision de Rousseau : Perfectibilité ne rend pas toujours l'homme meilleure. [...]
[...] Selon Aristote « la nature ne fais rien en vain ». Puisque l'homme vis en société, il a besoin de communiquer. Aristote distinct voix et parole. Les animaux possède la voix mais pas la parole. Il peuvent exprimer des emotions mais l'homme avec la parole peu exprimer des idées, des abstractions grace au logos. L'homme peut élaborer des notions générales comme l'utile et le nuisible, le juste et l'injuste, le bien et le mal. Il peu définir des notions communes. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture