Philosophie, histoire des sciences, naissance de la science moderne, Platon, Aristote, éidos, Socrate, physicien, Descartes, Gaston Bachelard, pensée, Bohr Eddington, Canguilhem
La nature désigne le principe de la production, le moteur du changement, c'est ce qui définit une chose.
La nature est ce qui détermine une puissance de devenir elle une chose au lieu d'une autre.
La forme est la détermination, c'est ce vers quoi tendent les êtres naturels.
Le mouvement désigne toutes les choses qui changent.
La forme produit le changement dans la configuration, l'évolution des caractères.
Ce n'est que la manifestation de la forme, de la chose touchable et observable.
Eidos est un aspect phénoménologique qui prend la chose.
La chose se transforme ou devient en l'éidos.
[...] C'est une errance sur une route balisée mais dans un sens plus profond , là où on s'aventure sur des chemins totalement inconnus non balisés . Si le type d'erreur correspond à cette errance sans repère et sans direction . Il produit une erreur car il n'y a pas de route courte . Pour Canguilhem , dans ce cas là , l'homme serait moins un être errant qui se jette dans l'erreur qu'un être hérétique . Tel astre qui ne suit aucun tracé géométrique apparent . [...]
[...] Bachelard considère que l'entendement , la connaissance scientifique est un sur objet . Selon Bachelard , le sur objet est le résultat d'une objectivation critique , d'une objectivité qui ne retient de l'objet que ce qu'elle a critiqué . La connaissance n'est alors qu'un travail de tri de l'esprit et d'obstacles épistémologiques à surmonter pour arriver à la scientificité . Pour Bachelard , les intuitions sont très utiles qui sont détruite à la fin . Bachelard définit comme négatif , destructif l'entendement . [...]
[...] Pour Bachelard , le retranchement de l'image doit se trouver dans le concept de la rectification . Nous dirons donc volontiers que l'atome est la somme des critiques auxquelles on soumet une expérience première . Un objet scientifique est une somme des critiques . L'erreur est la matière première de l'activité scientifique . Le travail de la raison , c'est de maintenir les critiques ou les résultats acquis . L'erreur est produite de 2 manières qui désignent 2 obstacles épistémologiques . L'imagerie 1ère est une observation 1ère qui nous sert à être détruite . [...]
[...] Le mathématicien lorsqu'il étudie se rapporte à des objets qui sont la forme des objets , ici ce sont la sphère et le corps naturel . Ce que reproche Aristote au mathématique c'est la séparation entre l'attribut géométrique et le corps naturel . Le mathématicien a oublié l'être naturel dont sont abstrait les formes géométriques . On ne va pas pouvoir raisonner sur les étants naturels comme sur les objets uniquement géométriques . Pour Aristote , on ne peut pas définir la chose physique sans faire référence à la matière . [...]
[...] La forme que va chercher le physicien est quelque chose qui ne va pas pouvoir être uniquement quantitatif mais qualitatif . Selon Socrate , c'est la 12ème des règles pour la direction de l'esprit . Une physique d'une qualité et d'une entièreté va consister dans le processus de mathématisation de la nature . Descartes possède une position dominante en philosophie qui est l'erreur accidentel / l'accord de l'être , le vrai , le faux . Une positivité à l'erreur cartésienne . L'entendement actif n'est pas véritablement de positivité de l'erreur si l'entendement n'est pas actif . [...]
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