Pour lui, le miracle est considéré avant tout comme un signe divin. Probe de Pascal est un problème du signe : le problème n'est pas de dire si cela transgresse les lois de la nature. Il s'intéresse au Miracle comme un langage. « Pour savoir si on a affaire à un miracle, il fat être capable de discernement, et il faut être capable de discerner par le biais d'une méthode, qui n'a rien à voir avec la méthode de démonstration des sciences. Étude de la spécificité de la méthode. De ce point de vue, la raison n'est pas la seule capable de discerner la réalité : il y a des réalités qui ne sont pas du registre/ à la portée de la raison.
Ce genre de discernement se heurte à trois objections, évoquées par Pascal. Celui-ci utilise l'argument du renversement du pour au contre, souvent utilisé par Pascal. Il montre qu'il est rationnel de croire au miracle, même si le miracle n'est pas rationnel.
Qu'est-ce que la raison par rapport au miracle ? La raison n'est pas forcément l'opposé de la religion.
Vrai ennemi du miracle : la concupiscence (...)
[...] Les païens allèguent aussi des miracles pour prouver leur fausse doctrine, la mettre en valeur. Les miracles sont pour la doctrine, et non pas la doctrine pour les miracles. Les miracles ne sont vrais que dans la mesure où ils persuadent de la vraie doctrine. Pensées 832 et Calvin rappelle que les miracle sont été faits par Dieu pour conforter la doctrine des évangiles. Dès lors que cela est fait, la doctrine est bien établit, donc, plus besoin de miracle. [...]
[...] Mais dieu se comporte il de façon arbitraire ou dieu sage? Miracle présuppose une volonté divine et c'est ca qui est à mettre en question car pour Spinoza c'est de l'anthropomorphisme ( l'homme projette son image sur Dieu) selon lui dieu n'est pas le créateur ( ca c'est le dieu imagine) le dieu si dieu est c'est l'être absolu qui n'est pas distinct du monde dieu c'est la nature , c'est le tout donc nous faisons partie de dieu qui comprend chaque être. [...]
[...] Pour lui, le miracle est considéré avant tout comme un signe divin. Probe de Pascal est un problème du signe : le problème n'est pas de dire si cela transgresse les lois de la nature. Il s'intéresse au Miracle comme un langage. Pour savoir si on a affaire à un miracle, il fat être capable de discernement, et il faut être capable de discerner par le biais d'une méthode, qui n'a rien à voir avec la méthode de démonstration des sciences. [...]
[...] Les miracles ne sont jamais absolument convaincants, mais ce ne pas irraisonné que d'y croire. Pensée564, voir annexe. Ainsi il y a de l'évidence et de l'obscurité pour éclairer les uns et obscurcir les autres. Mais l'évidence est telle, qu'elle surpasse, ou égale pour le moins, l'évidence du contraire ; de sorte que ce n'est pas la raison qui puisse déterminer à ne la pas suivre ; et ainsi ce ne peut être que la concupiscence et la malice du cœur. [...]
[...] Vrai ennemi du miracle : la concupiscence. Le miracle exige un discernement et une méthode spécifique de discernement, distincte de celle des sciences Cette méthode de discernement se heurte à trois objections surmontées par Pascal La raison n'est pas l'ennemi de la croyance au miracle (il est raisonnable ici de croire aux miracles, même si le miracle est irrationnel) la véritable ennemi du miracle est ce que Pascal appelle la concupiscence. Remarques avant de commencer. Pascal a inscrit la question du miracle dans une problématique du signe, et non pas du fait et de sa cause (de l'évènement). [...]
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