Sociologie, littérature, culture générale, auteurs classiques, auteurs néoclassiques, Adam Smith, Alfred Marshall, Keynes, Pierre Bourdieu, Max Weber, Baudrillard, Mas Low
Ce document présente une liste d'auteurs, écrivains et penseurs ayant marqué leur temps. On retrouve ainsi une liste d'auteurs classiques et une brève description de leurs oeuvres principales (Adam Smith, Robert Malthus...) ; d'auteurs hors courants telle que Anne Robert Jacques Turgot ; de néoclassiques (Friedman, Alfred Marshall).
Nous avons aussi une liste de sociologues tels que Dominique Méda, Bourdieu et Weber, d'anthropologues comme Marshall Thomas, ainsi que des keynésiens, et d'autres inclassables.
[...] CLASSIQUES Valeur de l'échange essentiellement une explication par les coûts de production, l'offre. Prix censé s'établir au niveau des coûts de production, même si le prix de marché pouvait fluctuer autour de ce prix naturel en fonction de l'offre et de la demande. L'individu n'est pas rationnel, victime d'une illusion : ses passions et non sa raison orientent ses choix, pauvres calculateurs qui ignorent leur intérêt propre Adam Smith : Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) : la main invisible La théorie des sentiments moraux (1759) : il estime qu'il est tout à fait irrationnel de rechercher égoïstement le gain car il s'agit d'une passion nuisible et ne mène pas à un réel bonheur (Smith= libéral modéré) (avec Ricardo) utilité = condition préalable à l'échange, mais utilité d'un bien ne détermine pas sa valeur d'échange : paradoxe de l'eau et du diamant (rien n'est plus utile que l'eau mais son prix est faible, inversement pour le diamant qui a une faible valeur d'usage mais un prix élevé = conception objective de l'utilité théorie de la valeur : valeur d'usage = utilité est associée à l'usage d'un bien par un individu, utilité liée aux besoins des individus, valeur d'échange = taux auquel s'échange une marchandise contre une autre sur le marché càd prix relatif →prix réel ou la valeur travail commandée = la valeur d'échange d'un bien est égale à la quantité de travail que sa vente me permet d'obtenir auprès d'autrui travail = seule chose dont la valeur est invariable (même si problème avec fatigue, habilité Pour connaître le prix réel on ne peut le faire que grâce à l'étalon universel du travail sociétés primitives : la valeur d'échange d'un bien (valeur-travail commandée) dépend de la valeur-travail incorporé : le prix réel est fixé par la quantité de travail que la production de cette marchandise a nécessité sociétés complexes : tout le produit du travail n'appartient pas forcément au travailleur (propriétaires fonciers ou de capitaux). [...]
[...] Celui qui écoute du free jazz n'a peut-être pas des goûts si différents de nous il a juste accumuler plus que nous en capital humain, temps et bien et services. Donc consommateur font un choix rationnel, l'appréciation de la musique sera produite à un coup plus ou moins élevé. Ce qui compte c'est que le commoditie appréciation de la musique n'a pas changé, c'est juste qu'on le produit à un coût moins élevé. [...]
[...] Utilité marginale = utilité qu'un AE accorde à la dernière utilité de bien détenu, elle est décroissante. L'utilité varie pour un même individu selon la quantité de bien dont il dispose, chaque unité consommée on s'approche de la saturation donc utilité marginale est bien décroissante (Gossen) Quand la n augmente, l'utilité diminue donc AE disposé à payer de moins en moins. Détermination d'un équilibre à l'aide d'outils microéconomiques. [...]
[...] Problème : 2/3 de la population salariée à temps plein est toujours inférieure au salaire médian Dérive = perte du paradis social que semblait promettre les 30G Désindustrialisation = délitement de l'encadrement institutionnel qui reliait le revenu à un statut professionnel indiqué par un diplôme et l'ancienneté, déclassement générationnel Mais attention, par de paupérisation ipso facto mais fragilisation du statut Ces angoisses sont pour une part fondées sur des réalités tangibles, (elles le sont aussi) sur des fantasmes sans lien réel avec les évolutions objectives de la société En France ( ) le rétrécissement de la classe moyenne n'est en rien une évidence Ces angoisses sont pour une part fondées sur des réalités tangibles, (elles le sont aussi) sur des fantasmes sans lien réel avec les évolutions objectives de la société En France ( ) le rétrécissement de la classe moyenne n'est en rien une évidence François Dubet : Les places et les chances (2010) : Inégalités cumulatives, inégalités réelles sont produites par l'accumulation de petites inégalités qui finissent par créer des écarts beaucoup plus importants (scolaire, santé Jean-Pierre Poulain : Sociologie de l'obésité (2009) : obésité de transition, analogie transition démographique, obésité lié à la fragilisation économique et sociale, l'obésité liée à un trouble alimentaire résultant du culte de la minceur PHILOSOPHES Peter Sloterdijk : L'écume, Sphère III : la serre du confort, prospérité omniprésente Bernard Mandeville (écrivain) : La fable des abeilles : erreur monumentale de supposer qu'ils avaient un mode de vie frugal car sté hollandaise est la première sté de conso au monde (17eme) car la conso s'adressait à la plus gde partie de la pop Tocqueville : De la démocratie en Amérique (1835) : Société démocratique : égalité des conditions (égalisation des droits individuels, représentation égalitaire des rapports sociaux, égalité chances, mobilité sociale) Moyennisation de la société (domination classe moyenne, uniformisation des conditions d'existence et des modes de vie). INCLASSABLES J.K Galbraith (hétérodoxe) : The affluent society (1958) : ère de l'abondance Le nouvel Etat industriel (1967) : idée de filière inversée : consommateur comme sous influence, l'offre crée sa propre demande en suscitant le désir de consommation : pub, marketing besoins/préférences dictées par l'offre, la pub ? [...]
[...] (Lorsque le revenu augmente le coefficient budgétaire alimentaire diminue) Marx : reproche à Ricardo que si un producteur est fainéant, son temps de travail augmente et paradoxalement la valeur du bien va augmenter aussi valeur d'une marchandise doit être meurée par le temps de travail socialement nécessaire à la produire càd temps moyen compte tenu des conditions d'habilité et du niveau de développement de la société = travail abstrait distingue le travail concret réellement effectué pour produire et le travail abstrait KEYNESIENS Akerlof : asymétrie d'information, prix qui semble être un indicateur de qualité, incertitude Keynes : théorie de la valeur = fondement de tout système économique général puisque la formation des prix dans les économies de marché condense la logique du comportement des AE, du mode de coordination de leurs activités. Mas Low (psychologue) : pyramide des besoins, hiérarchisés, universels, besoins primaires avant les autres, besoins physiologiques puis sécurité puis appartenance puis estime puis accomplissement de soi. [...]
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