liberté, libre arbitre, fatalisme, Spinoza, Sartre, Locke, autonomie
La liberté : pouvoir que possède tout homme de n'obéir qu'à lui-même, sa propre volonté d'agir seulement en fonction de ses désirs, indépendamment de toute contrainte ou pression extérieure.
Le libre arbitre : la capacité de faire des choix qui proviennent véritablement de nous-mêmes, puissance absolue des choix, il exclut l'esclave de ses désirs, l'impulsif, les maladies mentales.
Le déterminisme : thèse qui affirme qu'il n'y a pas d'évènement sans cause, les mêmes causes ont toujours les mêmes effets. La relation de cause à effet.
Le fatalisme : conception selon laquelle le monde entier est soumis à un destin qui ne peut être changé.
[...] Cela siginifie devoir assumer les conséquences de nos actes. C'est un fardeau car on porte la résponsabilité de nos choix La mauvaise foi chez sarte, ne pas assumer cette liberté, croire que l'on a pas le choix et que l'on subit tel ou tel déterminisme) Ex : homme responsable de sa passion, choisit de s'y abandonner ou non, ou encore, jusitifer notre timidité par notre tenperamment, alors que on aurait pu lutter contre Ex : « l'être et le néant » de Sartre le garcon de café surjoue son rôle pour s'empecher de penser à ce qu'il aurait pu être Selon sartre, il n'y a pas d'excuse à se trouver dans son milieu d'origine ou son passé, le lâche est responsable de sa lâcheté « nous sommes comdamnés à être libres » sartre « l'enfer c'est les autres » sartre (on agit en fonction des autres) La boétie désigne cela par l'expression paradoxale de « la servitude volontaire » L'homme est essentiellement pro-jet (se jette en avant de lui même et s'invente à chaque instants), il choisit pas sa situation mais pue choisir le rapport qu'il aura face à cette situation. [...]
[...] Ex 2 : acte gratuit (commis sans raison, mobile, par le seul effet de sa libérté) A. Gides « les caves du vatican » : lafcadio veut commettre un acte gratuit, pousser le vieillard si il voit un feu Transition : ce n'est pas réellement un acte gratuit car il veut se prouver à lui-même qu'il est libre. N'y a-t-il pas des choses qui peuvent déterminer ce que nous faisons et ce que nous sommes ? Le déterminisme déterminisne vs fatalisme (nécesstié conditionnelle, si . [...]
[...] Faire ce que l'on désir ce n'est pas être esclave de nos envies ? Désir : force contraignante qui s'empare de nous, que l'on subit, attirance envers quelque chose Ex : Locke, homme endormi que l'on transporte avec l'objet de son désir dans une pièce fermée à clé. Il fait ce qu'il désir mais n'a pas décidé d'entrer et ne peux pas sortir. [...]
[...] Transition : le libre arbitre est une illusion congénitale pas guérisable qui vient de l'ignorance des choses qui le détermine. Deux cotés du determinsime : nécessité (lois de la nature ou constition de l'être) contraintes (action de la réalité extérieure sur l'être) ex : couple qui se marie agit selon une nécessité, elle sont ainsi faite qu'elles éprouvent ce désir de joindre leur vie à l'être aimé. Mais des contrainte font que cettte nécesité se concrétise en mariage. L'être humain peu pas échapper au premier déterminsme mais contraintes plus ou moins fortes. [...]
[...] Spinoza oppose pas liberté et nécessité, mais oppose à contrainte. Les personnes les moins libres sont : les nourrissons, les vieillards, les malades, ivrognes, prisonnniers. L'homme par la connaissance peu atténuer ces contraintes, ex : la force de l'appesenteur exerce une contrainte qu'on peut supprimer avec l'avion. Conclusion : la liberté ce n'est pas s'abstraire du déterminisme mais c'est d'utiliser le détermisinme à notre profit grâce à la connaissance. Voulons-nous vraiment être libre ? [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture