Les médecins furent parmi les premiers à s'intéresser au corps, ainsi qu'à observer et en analyser les réactions. Il possédait des pouvoirs magiques. Connaître le corps et pouvoir agir sur lui. Observer l'extérieur du corps et la production du corps (sueurs, excrément, vomissement). Ils ont cherché à savoir ce qu'il se passer à l'intérieur du corps : dissection.
L'intérieur était connu car le corps était bon à manger (préhistoire et dans les tribus) : cannibalisme. On des os brisés, on s'en servait comme aliment. Symbolisme de l'ogre : qui dévore, qui effraye. Sujet tabou, on ne mange donc plus le corps humain.
[...] Horreur de la nudité par la représentation d'un corps mal foutu. Au moyen âge, on reproduit une image schématique froide et qui ne doit pas induire la tentation. De Vinci a très peu peint, plutôt un scientifique qu'un peintre. Il va en s'appuyant sur les Grecques redessiner le corps humain à partir de proportions géométriques. Le corps appartient à l'artiste. Nouvel art : la photographie. Elle permet de figer une attitude dans lesquels les hommes ne peuvent pas tenir. De La Croix va utiliser la photo pour faire des tableaux. [...]
[...] Le culte du corps portait par la culture homosexuelle. Conclusion : On retiendra de ce bref historique, de cette obsession de s'épiler le poil : - ce sont les femmes qui ont était les plus sujettes à l'épilation durant l'histoire pour bien marquer la différenciation sexuelle l'homme est l'animal probablement le plus poilus (chez les animaux le poil protège & chez l'homme le poil est dans les zones de transpirations et semble avoir pour seul rôle de retenir et d'amplifier les odeurs sexuelles, les blancs sont plus poilus que les noirs. [...]
[...] Mais s'opposer à l'église, c'est signer la peine de mort. Os indestructibles = os qui devait assurer la résurrection des corps. En 1543, Vésale publie un d'anatomie. En France, les premières dissections ont lieu au XVIème siècle. - En 1540, un médecin du roi Charles Estienne publiera des gravures d'anatomie. C'est l'un des premiers à disséquer des cadavres. - Le chirurgien de François 1er, Ambroise Parés a tout appris sur les champs de bataille, car il a beaucoup de matières premières. Au XVIIème, la leçon d'anatomie de Rembrandt. [...]
[...] Les rois se faisaient épiler le menton pour se faire tenir une barbe. Dans l'Égypte ancienne, les pharaons, prêtes, femme s'épilaient. Aucuns poils. Dans la Grèce antique, l'épilation s'étend à toutes les couches de la société. Les barbiers formaient de véritables corporations et raser aussi bien les esclaves que les nobles. On brulait les poils et on raclait avec une coquille de noix à base de résigne de pin, au sang de chauve-souris jusqu'au moyen âge. Les poils vont retrouver de la grâce aux yeux des gens jusqu'à l'an 1000 (croisade) il redécouvre les techniques d'épilation que les musulmans ont toujours gardée (surtout le front et les aisselles) la technique se répand ! [...]
[...] Dans l'Égypte ancienne, l'épilation était considérée comme un symbole de pureté. Au Vème siècle av-JC, l'épilation s'étend de façon progressive ç toutes les couches de la société. Chez les Grecs et les Romains, l'épilation est de rigueur (certains hommes pratiquent l'épilation intégrale) L'épilation était pratiquée par le brulage des poils, ou arrachage après application de résine de pin, ou épilation des sourcils par du sang de chauve-souris Mais à la chute de l'Empire romain (476) coup d'arrêt à cette mode et pendant 5 siècles le poil reviendra à la mode. [...]
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