Bien que l'esprit humain ne commence à comprendre le nouveau que lorsqu'il a tout tenté pour le ramener à l'ancien, il ne faut pas s'installer dans la pensé du philosophe, il faut en faire le tour sinon nous voyons sa doctrine se transfigurer.
Le philosophe tend à rendre avec une approximation croissante la simplicité de son intuition originelle.
[...] Cette image intermédiaire = intuition originelle = pensée vague ? . Comparaisons de Berkeley -Berkeley aperçoit la matière comme une mince pellicule transparente entre l'homme et Dieu. Transparente tant que les philo de s'occupent pas d'elle et alors Dieu se montre à travers. Si le sens commun y touche des mots(force, substance) comme une couche de poussières s'y déposent et nous empêchent d'apercevoir Dieu. -La matière est une langue que Dieu nous parle. (même processus, si on s'en occupe ex : l'ériger en entité indépendante nous empêcheraient de suivre la parole divine) dans les 2 cas on a affaire à une image simple qui dérive de l'intuition génératrice de la doctrine moyens d'expression de cette intuition : Le concept et l'image : Le système se développe en concepts, et se resserre en image quand on le repousse vers l'intuition dont il descend : si l'on veut dépasser l'image en remontant + haut qu'elle on retombe sur des concepts + vagues, + généraux que ceux d'où l'on était parti à la recherche de l'image et de l'intuition. [...]
[...] (pour Bergson vie mystique = prolongement de l'activité philosophique. [...]
[...] = processus parole qui s'apparente au processus d'une philo. Le philo ne part d'idée préexistantes. L'idée entrainée dans le mouvement de son esprit, s'anime d'une nouvelle vie comme le mot qui reçoit son sens dans la phrase. La philo est-elle une synthèse ? Relation du même genre entre un système philo et l'ensemble des connaissances scientifiques de l'époque ou le philo a vécu. Conception selon laquelle effort du philo = embrasser dans une synthèse tous les résultats des sciences particulières et de les condenser et les généraliser . [...]
[...] (pas que substitution d'un mot par un autre) Berkeley de pense pas que la matière cessera d'exister quand il aura cessé de vivre. Idéalisme de berkeley= la matière est coextensive à notre représentation. Ainsi, il préfère appeler les corps des idées que des choses. Mais alors cet idéalisme coïncide ac le nominalisme (thèse qui est négation des idées abstraites (cad extraites de la matière). Pour abstraire qlqc de commun entre 2 choses (alors qu'on ne saurait extraire qlqc de ce qui ne contient rien) ex : la vue et le toucher, on s'aperçoit qu'il n'y a que le mot. [...]
[...] Mais cette conception est pour Bergson désobligeante pour la science et injurieuse pour le savant. Profession du philo n'est pas d'avancer + loin que la science dans la même direction qu'elle. OK chaque science à sa philo mais cette philo reste de la science. La philo se prétend pas être une synthèse des sciences et de s'élever + haut que la science dans la généralisation des mêmes faits. Cette conception = injurieuse pour science ET pour philo ! Faire de la philo un ensemble de généralité faire du philo se contenter du plausible et de la probabilité. [...]
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