Qu'est-ce que l'inconscient, Freud, névrose, degrés de conscience, réalité psychique, Emile-Auguste Chartier, Jean-Paul Sartre, surmoi, Karl Popper, libre arbitre, psychanalyse, sublimation, déterminisme psychique, métaphysique
Qu'est-ce qui échappe à la conscience ? Est-on totalement libre ou le résultat d'influences ? On n'analyse pas tout, il y a des mécanismes (le langage) qui effectivement nous échappent. Du moment que ça concerne le corps, la mécanique temporelle, cela n'est pas gênant, mais dès que cela touche nos pensées, nos désirs, on est en droit de se demander si on est encore un sujet libre et responsable. Que peut la conscience ? Est-ce que je peux prendre conscience de ce qui m'échappe dans l'espoir de regagner un peu de liberté ? L'homme peut-il s'aveugler lui-même ? La difficulté est que lorsque l'on parle d'inconscient, est qu'on l'entend forcément au sens psychique, il faudra à ce moment à bien comprendre de qui nous parlons sans concevoir l'inconscient en tant que moindre degré de conscience.
[...] Freud n'invente pas le terme d'inconscient, mais le redéfinit, lui donne une place, un rôle nouveau. Les trois humiliations: Introduction à la psychanalyse, Freud 1916 : Trois grands démentis sur la façon dont l'homme a été pensé : - Copernic : héliocentrisme - Darwin : l'homme descend de l'animal - Freud : « le moi n'est pas maître en sa maison ». Critique : Freud se met au même niveau que Darwin et Copernic, selon lui sa théorie devrait bouleverser la vision du monde comme les leurs. [...]
[...] On viendrait à conclure que la liberté n'existe pas, ce qui est faux, il faut uniquement la penser autrement Spinoza (XVIIème siècle,) « les hommes se croient libres car ils sont ignorants des causes qui les déterminent. » Problématique : La liberté et le déterminisme sont deux choses à penser conjointement, d'un côté on cherche à comprendre, à expliquer, de l'autre on remarque un risque, un danger de refuser, réduire voire annuler la liberté de l'homme en l'enfermant dans un destin, un schéma. (Que ce soit la trame de l'histoire ou l'enferme dans son histoire personnelle). Cette vision des choses entraîne des discussions. [...]
[...] Du moment que ça concerne le corps, la mécanique temporelle, cela n'est pas gênant, mais dès que cela touche nos pensées, nos désirs, on est en droit de se demander si on est encore un sujet libre et responsable. Que peut la conscience ? Est-ce-que je peux prendre conscience de ce qui m'échappe dans l'espoir de regagner un peu de liberté ? L'homme peut-il s'aveugler lui-même. La difficulté est que lorsque l'on parle d'inconscient, est qu'on l'entend forcément au sens psychique, il faudra à ce moment à bien comprendre de qui nous parlons sans concevoir l'inconscient en tant que moindre degré de conscience. I. [...]
[...] Les psychiatres et psychologues sont souvent psychanalystes. Il soigne les névroses, ne peut prescrire de médicaments, cure par la parole, hypnose • Les névroses : L'origine est psychique mais les manifestations peuvent être physiques, c'est un terme générique qui regroupe les phobies, l'anxiété, la dépression, l'hystérie Quelle est la différence entre psychose et névrose ? La psychose regroupe les névroses (qui sont uniquement psychiques) et les maladies organiques (dans le fonctionnement même du cerveau. (Un psychanalyste ne traite pas de psychose d'origine organique). [...]
[...] La résolution positive est l'imitation qui remplace les sentiments de jalousie. Le complexe est réactivé et surmonté à l'adolescence grâce à une tierce personne. Lorsque le complexe n'est pas liquidé le sujet souffre de troubles psychiques dus à la culpabilité. Aspect négatif : affection démesurée renversée du garçon pour le père, ce qui engendre d'avantage de troubles. Importance de la libido pour Freud car c'est en ce domaine qu'il y a le plus d'interdits, de tabous et par conséquent de refoulements. [...]
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