église, argent, XIIIe, XIVe, état pontifical, seigneur temporel, seigneur spirituel, simonie, pauvreté, clercs
Au XIe siècle une accentuation des échanges dus à une augmentation du nombre de marchands, des systèmes d'échange. Si l'église tient un discours religieux négatif sur les commerçants, elle va devoir modifier celui-ci. Pour elle l'argent est pour elle n'y bon ni mauvais, elle définit le bon usage de cet argent et ce que doit être un bon riche. Dès le IIIe siècle les pères de l'Église définissent comment utiliser son argent : faire des donc à l'église pour permettre la bonne marche de l'état pontifical, mais aussi au plus pauvre.
[...] On aboutit à une doctrine plus modéré au regard du prêt d'argent on distingue ce qui peut et ce qui susceptible de le justifier. Quant est ce qu'on peut réclamer un intérêt, les franciscains donnent 2 situations : - Lucrum cesam : profit cessant, en prêtant de l'argent il se prive d'un manque à gagner - Notion de dommage, de risque encourut par le préteur, qui peut ne pas être remboursé. Jamais l'église quand il y a usure, sont objectif n'est pas économique, avec des pourcentages, sont propos reste morale éthique. [...]
[...] Le métier de la banque est vue comme improductif, voir parasitaire. Jacques de Vitry au XIIIe siècle dit que dieu à donner 3 types d'hommes et le diable 1 : les usuriers qui ne participent pas à la production de la société. Le prêt constitue e fait de vendre quelque chose immatériel, le temps, on vend se qui n'existe pas. L'usurier va donner un faut prix, on modifie le prix de l'argent. Vendre du temps c'est vendre quelque chose de divin, et il n'appartient pas aux hommes de le vendre. [...]
[...] L'église et l'argent aux XIII-XIVe siècle Au XIe siècle une accentuation des échanges dus à une augmentation du nombre de marchands, des systèmes d'échange. Si l'église tient un discours religieux négatif sur les commerçants, elle va devoir modifier celui-ci. Pour elle l'argent est pour elle n'y bon ni mauvais, elle définit le bon usage de cet argent et ce que doit être un bon riche. Dès le IIIe siècle les pères de l'Église définissent comment utiliser son argent : faire des donc à l'église pour permettre la bonne marche de l'état pontifical, mais aussi au plus pauvre. [...]
[...] La réflexion de l'église est donc morale. Le point de départ est le péché : d'avaricia, péché capital qui condamne la thésaurisation. Dans sa condamnation morale elle retrouve un courant antique qui distingue deux types d'activité humaine : la chrématistique et l'économique( la 1ere c'est l'accumulation d'argent pur elle même, activité qui consiste à pratiquer l'art de s'enrichir par une attitude immorale, l'économique elle se distingue par son utilité elle à une fin autre que le vice. Soit en ramassant c'est l'activité de cueillette soit par le travail, on peut aussi accroitre la matière par l'échange. [...]
[...] Cela contribue au développement d'un train de vie fastueux chez certains clercs. Le train de vie est d'autant plus fastueux que la pauvreté est très présente au moyen âge. En 1322 le pape Jean XXII publie une bulle qui dit que Jésus n'à jamais prôner la pauvreté L'assistance aux plus démunis Les riches vont distribuer leur argent en trop, et cet argent ils ne sont pas censé l'avoir car ils l'ont obtenu en ayant fait des activités commerciale. Ils peuvent pour ce rejeter faire des dont aux églises, ou intégré un monastère. [...]
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