Cours de Philosophie portant sur la liberté et le déterminisme développé avec des notions des Stoïciens, de Descartes et de Leibniz. Comment discerner le bien du mal ? Pourquoi poser l'hypothèse de la liberté ? Comment faire le bon choix ?
[...] - S'il y a une finalité dans la Nature, elle veut que Il y aurait une Providence. L'idée d'un Dieu créateur se retrouve car on se demande quelle intelligence créatrice a fait un monde organisé en vue d'un but précis. - Tous les projets formés par l'homme dans son esprit sont le résultat de causes efficientes pour un déterministe. - R ema r q ue 8 : B erg s o n - Vi e ps y c hi q u e : - Comment appliquer le déterminisme à notre vie psychique ? [...]
[...] - J'ai choisi ce qui représente une valeur, on peut rechoisir la possibilité non éliminée, elle garde sa valeur et reste un idéal à rechercher. - On peut alors comprendre comment on se sent libre dans les engagements et responsabilités qu'on a prit. - En choisissant ce qui représente une valeur, on donne un sens, une finalité, un but toujours présent à notre existence, on peut le rechoisir chaque jour et garde sa valeur car elle ne dépend pas des circonstances. - Le bon usage de la liberté est de la conserver. - Faut-il refuser de s'engager pour garder sa liberté ? [...]
[...] - Cette proposition permet de penser au rôle de l'éducation. L'enfant est spontané, il n'a pas encore l'âge de raison, il est de vouloir Naturel, l'éducation le conduit vers le vouloir universel. - Dans l'œuvre de Kant, le premier moment de l'éducation est la discipline qui force de l'extérieur, à retenir la spontanéité. - La sanction, contrainte amène l'individu à ne pas faire tout ce dont il a envie, la force extérieure l'oblige à se retenir, c'est par ce moyen extérieur que l'enfant apprend à se contrôler, se maîtriser On pourra alors s'imposer à nous-même une règle qu'on peut choisir ! [...]
[...] Faire ce que l'on veut : liberté et volonté ! - Qu'est ce que la volonté ? Un acte volontaire ? - Il y a une conception de l'acte. - L'acte est précédé par une pensée : l'esprit intervient dans l'acte volontaire. On a ensuite une prise de conscience, ce n'est pas un acte machinal, ou semi-machinal tel que se moucher - Il y a donc une ouverture vers des possibles : donc il y a délibération ! La Mal, c'est ce que je ne dois pas faire, si la raison fait voir ce qu'il ne faut pas faire, on perturbe cela, ce sont les sentiments auxquels on a du mal à résister : ce sont les passions qui interviennent et nous font délibérer en étant de mauvaise foi, c'est faire semblant de croise à des arguments qui vont dans le sens des passions : on se ment à soi-même en oubliant de regarder la situation pour assouvir ses désirs. [...]
[...] - Comment s'assurer de sa liberté ? En être conscient ? Quand on est libre d'exprimer sa pensée au regard des autres. - Chez les stoïciens, il y a une logique par rapport à la liberté, la personne existe comme conscience, si elle s'exprime ! On porte atteinte à la liberté par la censure, une liberté n'est pas une liberté si elle n'est pas extériorisé. - Le stoïcien au cachot réalise son acceptation intérieurement, et n'échappe pas au détour par l'extériorisation. [...]
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