Cours de culture Générale Révisions efficace des concours des grandes écoles et concours administratifs
Éduquer : vient du latin educere, conduire dehors, vers le monde. Education : former l'individu, à ne pas confondre avec instruire, où l'on se contente de transmettre un savoir.
Pédagogie : A l'origine, le pédagogue était l'esclave qui accompagnait les enfants. Au Moyen Âge, les pédagogies sont des pensions ou collèges qui accueillent les élèves.
École : vient du grec scholè « le loisir », temps non soumis à une contrainte de rentabilité donc favorable à la liberté de l'esprit et à l'acquisition d'une culture désintéressée.
Lycée : endroit où enseignait Aristote. Terme réactualisé par Napoléon avec la création des lycées en 1802.
Professeur : celui qui se déclare expert dans un art ou une science.
La problématique de l'éducation : 5 dimensions fondamentales
Dimension individuelle : développement des capacités cognitives, relationnelles et physiques de l'individu.
Dimension politique : rôle de l'éducation dans la construction de l'identité nationale
Dimension économique et sociale : formation du capital humain
Dimension culturelle : transmission du patrimoine intellectuel et artistique des générations précédentes.
Dimension administrative : l'éducation est une politique publique qui mobilise des ressources considérables.
[...] Mettre des moyens financiers suffisants pour permettre au Monde non seulement de survivre, mais d'investir S'engager sur la totale indépendance de la rédaction Dénoncer publiquement toute intervention politique, de quelque bord qu'elle soit, pendant la durée des négociations. [...]
[...] Phénomène des sectes révélateur d'un malaise social, lié à la solitude des grandes villes, à la dureté des rapports sociaux Les sectes jouent sur la manipulation mentale, coupure avec la famille et le monde. VI- L'intégrisme Intégrisme = vouloir maintenir un système religieux dans son intégrité (sans qu'il évolue), et par extension tout système doctrinal. Fondamentalisme = tendance conservatrice de certains milieux religieux, interprétation stricte des dogmes. Phénomènes anciens qui ressurgissent avec l'apparition du fondamentalisme musulman. Plusieurs étapes : -Années 70 : réislamisation, révolte contre l'ordre établi dans les Etats issus de l'indépendance. [...]
[...] Au nom de la guerre contre le terrorisme, limitation des libertés dans l'Amérique de Bush. Les "peurs externes"(dirigées contre un ennemi extérieur) unissent la société: agressions militaires, terrorisme, menaces nucléaires. Exploitées par les dirigeants, car politiquement rentables, placées sur l'agenda politique, les peurs non rentables en seront éliminées. Les élites font en sorte que les peurs externes, pour lesquelles elles se posent en protecteurs des citoyens, masquent les peurs internes. Les "peurs internes" (sources de division du corps social) sont suscitées et entretenues par les puissants pour soumettre les plus faibles. [...]
[...] Ils ne portent pas les préoccupations des plus pauvres. L'Afrique reste trop négligée. Le rôle de l'Assemblée générale des Nations unies doit être renforcé. C'est le seul lieu où, quel que soit son poids économique, un pays peut s'exprimer à égalité avec les autres. Négociations dans le cadre de l'OMC seulement entre UE et USA jusque 1990's puis entrée du G20 (représente 65% de la population mondiale des exportations) en faveur d'une libéralisation des échanges agricoles et d'une suppression des subventions émanant du Nord (groupe hétérogène de pays en développement mené par le Brésil et l'Inde, créé en 2003 à Cancùn, bouleversement dans les négociations commerciales internationales) et du Groupe de Cairns (fondé en 1986 en Australie, en 2001 lors du cycle de Doha seul contrepoids aux Etats développés subventionnant leur agriculture membres, dont 10 du G20) 1986-2004 Uruguay Round crée l'OMC 2001-2005 Cycle de Doha élimination des subventions à l'exportation sur les produits agricoles fin 2013. [...]
[...] François Furet, Le passé d'une illusion : Relève la puissance d'utopie du marxisme qui fait que des gens refusent de croire aux effets pervers révélés par le marxisme. Pourquoi ? Parce que si le mythe s'efface, l'homme a quand même besoin d'idéologie. Ainsi, la chute de l'URSS n'est pas la fin de l'histoire, mais de la croyance en la finalité de l'histoire. Dans ce cas, est-ce que les hommes peuvent vivre sans significations et dans un hors temps ? Non explique la relecture du marxisme et le pouvoir d'utopie observé dans les partis d'extrême gauche. Certaines parts dans l'altermondialisme. [...]
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