Philosophie, force, Nietzsche, Montaigne, Kant, Zarathoustra, connaissance, pensée, Objet de la connaissance, raison
La stabilité de la connaissance exige la stabilité de l'objet de la connaissance. L'exigence de la pensée discursive possède un pouvoir qui rendre compte de ce qu'on avance par le langage et se porte sur l'idée d'une correspondance entre mots et choses. Les exigences de la pensée rationnelle pourraient nous conduire à prendre comme objet la connaissance des choses qui n'a rien à voir avec la réalité. On aborde la notion d'adéquation de l'énoncé à la réalité avec la question suivante : Qu'est-ce qui fait qu'une pensée est adéquate à la chose elle-même ? Il y a quelque chose de commun entre la pensée et la réalité, mais la pensée et la chose qu'on essaie de penser sont 2 réalités hétérogènes, car elles n'ont pas la même nature.
[...] Pour la dialectique , il faut comprendre que la raison veut toujours fabriquer des idées . Dieu, l'âme, le monde, sont des idées fabriquées par la raison . Le chapitre II du livre II de la dialectique concerne l'antinomie de la raison pure où l'on fabrique une opposition entre des thèses et des antithèses . La raison est incapable de trancher entre des thèses et des antithèses . Ces antinomies sont liés au fait qu'il y a 4 sous-ensembles de catégories dont la raison humaine a besoin selon Kant qui sont la quantité , la qualité , la modalité et la relation . [...]
[...] Les philosophes attribuent tout ce qu'ils estiment comme la vérité , la morale , le bien au monde immuable et tout ce qui est mauvais au monde apparent . Le vrai se rapporte au monde intelligible et le faux au monde apparent . Les thèses qui vont à l'encontre du manichéisme vont dans ce sens . Le mal désigne le manque d'être . Cette façon d'apprécier constitue le préjugé typique auquel on reconnaît les métaphysiciens de tous les temps . Ces évaluations se trouvent à l'arrière-plan de toutes leurs méthodes logiques , se basant sur cette croyance qui leur appartient . [...]
[...] Le côté sceptique de la force La stabilité de la connaissance exige la stabilité de l'objet de la connaissance . L'exigence de la pensée discursive possède un pouvoir qui rendre compte de ce qu'on avance par le langage et se porte sur l'idée d'une correspondance entre mots et choses . Les exigences de la pensée rationnelle pourraient nous conduire à prendre comme objet la connaissance des choses qui n'a rien à voir avec la réalité . On aborde la notion d'adéquation de l'énoncé à la réalité avec la question suivante : Qu'est-ce qui fait qu'une pensée est adéquate à la chose elle-même ? [...]
[...] Le texte qui est intéressant dans la Critique de la raison pure est situé dans la logique transcendantale . La logique transcendantale se compose de 2 moments égaux qui sont l'analytique et la dialectique . Pour Kant , le terme transcendantal désigne tout ce qui a un rapport aux conditions de l'expérience . L'esthétique et l'analytique posent les fondements de la connaissance . On y distingue ce qui est susceptible d'une connaissance certaine de ce qui ne l'est pas . L'analytique tire sa connaissance de l'entendement qui produit ses catégories et sa limite . [...]
[...] L'artiste garde un attachement pour l'illusion une fois déchirée alors que l'homme théorique trouve un malin plaisir à déchirer le voile de l'illusion , il préfère cette sensation à la recherche de la vérité . Selon Nietzsche , Socrate est un homme théorique . Dans Ainsi parlait Zarathoustra écrit en celui-ci pense que la connaissance pure masque les désirs du philosophe qu'il cherche à assouvir grâce à sa pensée et que le corps désigne tout ce qui pousse à interagir avec le monde comme l'instinct . [...]
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